So euch das Erdenleben schwer wird, flüchtet zu Mir.... Ich will euch Kraft und Trost sein in schwerer Stunde, und wer mit Mir wandelt, wird alles Schwere überwinden. Doch es sei euch gesagt, daß ihr auch selbst tätig sein müßt, wollet ihr, daß Ich euch segne.
Die Natur verlangt ihr Recht, und so müsset ihr euch den Gesetzen der Natur fügen, desgleichen müßt ihr aber auch euch in der Selbstüberwindung üben, wo es angängig ist. Und das Leben wird euch oft vor die Entscheidung stellen, ob ihr dem Körper oder der Seele zu Willen sein wollt. Und es wird der Körper manches fordern, und ihr werdet es ihm gewähren wollen, doch der Seele Nutzen ist nur gering, wenn dem Körper Erfüllung wird, dagegen wird die Seele ungemein gewinnen, wo der Körper Verzicht leistet auf das ihm Zusagende. Die allergrößte Gefahr besteht darin, daß dem Körper das Recht eingeräumt wird zu herrschen.... daß nur immer seiner Behaglichkeit Rechnung getragen wird und des Menschen Sorge ständig ist, ihn zu pflegen, und ein immerwährender Kult um ihn Anlaß ist, die eigentliche Arbeit an der Seele zu vernachlässigen, und (es = d. Hg.) ist dies wohl der Erhaltung des Leibes dienlich, nimmer aber der Gestaltung der Seele, und erstere ist im Verhältnis zur eigentlichen Erdenaufgabe äußerst unwichtig, das ist ernstlich zu bedenken, wo die Sorge um das körperliche Wohl vorherrschend ist. So lasset euch daher nimmer verleiten, der Natur vorgreifen zu wollen, indem ihr zu verändern oder aufzuhalten sucht, was seinen natürlichen Gang gehen muß. Erprobet eure Macht.... sie wird unzulänglich sein gegenüber den bestehenden Naturgesetzen.... doch wo der Körper den Weg des Verfalls geht, dort soll die Seele reifen und immer vollkommener werden, weshalb eben ersterer im selben Maße vergehen muß, wie die Seele geistig zu leben sich bestrebt. Es hat die Seele gleichsam in einem äußerlich wohlgebildeten Körper ein größeres Hindernis zu überwinden, da aller Hang zur Welt diesem innewohnt und an die Seele größere Anforderungen gestellt werden in Selbstüberwindung durch öftere Anreize der Welt. Wer seinen Körper verachtet, die Seele dagegen sorgsam bedenket mit geistiger Pflege, der hat die Erdenzeit wohl genützet, und er wird sich auch rein äußerlich wohl fühlen, da dieses ihm nicht als einzig-erstrebenswert erscheint und er sonach bedacht wird mit allem, was er zum Leben benötigt. Denn Ich bedenke Meine Kinder auf Erden, wie es ihnen dienlich ist.... Ich gebe, wo man gern entsagt, und versage, wo allzu verlangend nach irdischen Gütern getrachtet wird, weil Ich nicht will, daß der Körper allein bedacht wird, sondern die Seele zuerst aus ihrer Not gerettet werden soll....
Amen
ÜbersetzerSi la vie terrestre vous est difficile, réfugiez-vous vers Moi, Je veux être pour vous Force et Consolation dans les heures difficiles, et celui qui marche avec Moi vaincra chaque difficulté. Mais qu’il soit dit que vous aussi devez être actif, si vous voulez que Je vous bénisse. La nature exige son droit, et ainsi vous devez vous adapter aux lois de la nature, et de la même manière vous devez aussi vous exercer dans l'autodépassement, là où c’est nécessaire. Et la vie vous mettra souvent devant l’obligation de choisir si vous voulez suivre la volonté du corps ou celle de l'âme. Le corps exigera des choses, vous voudrez les lui concéder, mais l'âme trouve seulement une utilité insignifiante dans la satisfaction du corps, par contre l'âme conquerra immensément beaucoup là où le corps prête renoncement à ce qui lui agréé. Le plus grand danger consiste dans le fait qu’au corps est concédé le droit de dominer, qu'il est tenu compte toujours de son plaisir et que la préoccupation de l'homme est toujours de le soigner, et le culte continu autour de lui est toujours un motif pour négliger le vrai travail sur l'âme, cela sert certes à la conservation du corps, mais dégrade la formation de l'âme, or cette tâche terrestre qui passe en premier comme si elle était la vraie tâche de la vie est extrêmement insignifiante, de sorte que l’on doit sérieusement réfléchir quand la préoccupation pour le bien corporel est prédominante. Ne vous laissez ainsi jamais séduire à vouloir précéder la nature en cherchant à changer ou arrêter ce qui doit parcourir son chemin naturel. Vous mettez à l'épreuve votre pouvoir, il sera insuffisant face aux lois existantes de la nature, mais lorsque le corps prend le chemin de la décadence, là l'âme doit mûrir et devenir toujours plus parfaite, et avec cela la première préoccupation doit disparaître dans la même mesure où l'âme aspire à vivre spirituellement. L'âme a à dépasser pour ainsi dire un gros obstacle lorsque le corps est trop bien formé, vu que dans une telle demeure chaque attachement au monde impose à l'âme de grandes exigences d'autodépassement au travers des grandes stimulations du monde. Qui dédaigne son corps, et pense par contre scrupuleusement au soin spirituel de l'âme, celui-ci aura bien employé le temps terrestre, et il se sentira bien même dans ce qui est purement extérieur, vu que cela ne lui semble pas l'unique chose à laquelle il aspire et donc il est pourvu avec tout ce qui sert pour la vie, parce que Je pourvois Mes fils sur la Terre comme ils Me servent. Je donne là où ils renoncent volontiers, et retiens là où ils désirent les biens terrestres, parce que Je ne veux pas qu'on pense seulement au corps, mais d'abord à sauver l'âme de sa misère.
Amen
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