Comparer communication avec traduction

Autres traductions:

Passage du monde terrestre à la vraie Patrie

La tendance au monde est encore le signe que l'être est uni avec l'adversaire de Dieu, mais vous les hommes n’entendez pas volontiers un tel jugement sur vous, car vous mépriseriez le monde sans réserve, si vous vous étiez déjà totalement détachés de celui-ci. Vous ne pourriez trouver aucun plaisir dans les choses qui sont matérielles, ni des joies et des jouissances qui seraient en dehors du Règne spirituel, parce que votre âme, lorsqu’elle s'est détachée de son ennemi, désirerait retourner dans le Règne spirituel, où elle a été primordialement, elle saurait et sentirait que le règne matériel est seulement un passage qui lui met des chaînes, mais elle ne le désirerait jamais. Vous les hommes du fait de votre ignorance, croyez que la vie sur cette Terre est le symbole pour ce que vous appelez le bonheur lorsque vous pouvez former cette vie terrestre comme cela vous satisfait, parce que vous ne connaissez pas le vrai bonheur qui est totalement différent de la vie non-libre, chargée dans la chair sur cette Terre. Vous ne connaissez pas la liberté dans une plénitude de Force, vous ne connaissez pas la Lumière rayonnante dans laquelle vous pouvez vous bouger, lorsque vous vous êtes libérés du désir pour le monde, parce que vous appartenez encore à celui qui est le seigneur de ce monde. Mais tout désir de lui tombe, si vous vous détournez sérieusement de celui auquel vous devez votre existence en tant qu’homme. Et maintenant votre désir est tourné vers un autre but, l'âme désire d’autres joies que celles que le monde peut lui offrir, l'âme reconnait sa faiblesse et son imperfection et maintenant elle désire la Lumière et la Force, elle a la nostalgie de revenir dans l'état de perfection, elle tend avec tous ses sens vers le Règne spirituel, dont l'entendement de l'homme ne peut se faire aucune idée. Mais l'âme qui s'est détachée de l'adversaire de Dieu sait que sa vraie Patrie est désirable. Et donc elle ne peut souhaiter rien des biens du monde qu’elle a appris à reconnaître comme une apparence vide et que donc elle méprise. Tant que vous les hommes désirez le monde, alors vous êtes aussi dans son pouvoir, vous lui appartenez encore, parce que vous n'avez pas pu encore développer la Force de vous détacher de lui, de prêter renoncement à ce qu'il vous offre, pour l’échanger contre des Biens qui peuvent en Vérité vous rendre heureux. Vous ne pouvez pas posséder les deux choses en même temps. Vous devez renoncer à l’une, pour conquérir l'autre, même si vous demeurez encore sur la Terre, vous devez oser faire le pas dans le Règne spirituel, parce que c’est une décision de votre volonté, que de vouloir échanger par votre propre poussée le règne matériel avec le Règne spirituel. Et lorsque vous avez réussi cela, vous avez dépassé l'épreuve de la volonté, vous vous êtes libérés du pouvoir qui vous tenait captif. Et vous serez aidés de toute façon, lorsque vous osez faire ce pas, vous êtes attirés et il vous est offert une prestation d'Aide, mais vous n'êtes pas forcés. Cependant il vous est guidé souvent devant les yeux la caducité des biens terrestres-matériels, donc il ne devrait pas vous être difficile de tendre vers ce qui est impérissable. Et Dieu laisse toujours de nouveau résonner Son Appel : Libérez-vous des chaînes qui vous empêchent de retourner dans la Maison du Père, renoncez au monde, pour que vous puissiez de nouveau prendre possession du Règne spirituel qui vous offre la Paix et la Béatitude, que le monde ne peut jamais vous offrir.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Irdische Welt Durchgang zur wahren Heimat....

Der Hang zur Welt ist noch das Zeichen der Verbundenheit mit dem Gegner Gottes, wenngleich ihr Menschen ein solches Urteil über euch nicht gern höret, doch ihr würdet die Welt unbedenklich verachten, wenn ihr euch schon völlig gelöst hättet von jenem. Ihr könntet keinen Gefallen finden an Dingen, die materiell sind, an Freuden und Genüssen, die außerhalb des geistigen Reiches liegen, denn eure Seele würde.... so sie sich gelöst hat von ihrem Feind, zurückverlangen in das geistige Reich, wo sie uranfänglich gewesen ist, sie würde es wissen und fühlen, daß das materielle Reich nur ein Durchgang ist, das ihr Fesseln auferlegt, nimmermehr aber danach verlangen. Ihr Menschen habt als Folge eurer Unkenntnis den Glauben, daß das Leben auf dieser Erde Inbegriff dessen ist, was ihr Glück nennet, wenn ihr euch dieses Erdenleben so gestalten könnet, wie es euch gefällt.... weil ihr das wahre Glück nicht kennet, das gänzlich anders ist als das unfreie, belastende Leben im Fleisch auf dieser Erde.... Ihr kennet nicht die Freiheit in Kraftfülle, ihr kennet nicht das strahlende Licht, in dem ihr euch bewegen dürfet, so ihr euch gelöst habt von dem Begehren nach der Welt.... ebendarum, weil ihr dem noch angehöret, der Herr ist dieser Welt. Doch alles Verlangen erstirbt, wenn ihr euch ernstlich von dem abwendet, dem ihr euer Dasein als Mensch zu verdanken habt.... Und euer Begehren gilt nun einem anderen Ziel, die Seele verlangt andere Freuden, als die Welt ihr zu bieten vermag.... die Seele erkennt ihre Schwäche und Unzulänglichkeit und begehret nun Kraft und Licht, sie sehnt sich zurück nach dem Zustand der Vollkommenheit, sie strebt mit allen Sinnen das geistige Reich an, von dem sich der Verstand des Menschen keine Vorstellung machen kann. Aber die Seele, die sich gelöst hat vom Gegner Gottes, weiß es, daß ihre wahre Heimat begehrenswert ist. Und darum vermag sie auch den Gütern der Welt nichts abzugewinnen, die sie als leeren Schein erkennen lernte und die sie deshalb verachtet. Solange ihr Menschen die Welt begehret, solange seid ihr auch noch in seiner Gewalt, ihr gehöret ihm noch an, weil ihr noch nicht die Kraft aufbringen konntet, euch von ihm zu lösen, Verzicht zu leisten auf das, was er euch bietet, um dagegen Güter einzutauschen, die euch in Wahrheit beglücken können. Doch beides zugleich könnet ihr nicht besitzen.... Ihr müsset das eine aufgeben, um das andere zu gewinnen, ihr müsset.... auch wenn ihr noch auf Erden weilet, den Schritt wagen in das geistige Reich, denn dies ist euer Willensentscheid, aus eigenem Antrieb das materielle Reich mit dem geistigen vertauschen wollen.... Und so euch dies gelungen ist, habt ihr die Willensprobe bestanden, ihr habt euch befreit aus der Gewalt dessen, der euch gefangenhält. Und es wird euch geholfen in jeder Weise, daß ihr diesen Schritt waget, ihr werdet gelockt, und es wird euch Hilfestellung geboten, doch ihr werdet nicht gezwungen.... Aber es wird euch die Vergänglichkeit der irdisch-materiellen Güter so oft vor Augen geführt, daß es euch wahrlich nicht schwerfallen sollte, danach zu streben, was unvergänglich ist. Und immer wieder lässet Gott Seinen Ruf ertönen: Machet euch frei von den Fesseln, die euch hindern an der Rückkehr ins Vaterhaus.... gebet die Welt auf, auf daß ihr das geistige Reich wieder in Besitz nehmen könnet, das euch Frieden und Seligkeit bietet, die euch nimmermehr die Welt bieten kann....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde