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Septième et huitième Commandement

Ma Fille, qui Me sert avec fidélité et persévérance, voici un autre Signe de Mon Amour et de Ma Grâce : il vous a été donné un autre Commandement : « Tu ne voleras pas ». Vous enfreignez entièrement ouvertement ce Commandement de l'amour pour le prochain lorsque vous usurpez ce qui est sien. Vous devez respecter la propriété du prochain, et vous devez même la protéger contre ses ennemis, autrement vous ne ressentez aucun amour pour lui, comme Moi Je vous le commande. Vous devez aimer votre prochain comme vous-mêmes, et vous serez reconnaissants envers ceux qui respectent votre propriété ; donc vous devez faire pareillement pour conquérir l'amour du prochain. Ce que vous prenez illégitimement ne vous procurera aucune bénédiction, cela vous chargera plutôt et tirera en bas votre âme qui doit tendre vers le Haut. Tu ne dois pas voler. Il ne s’agit pas seulement des biens terrestres que vous ne devez pas enlever au prochain. Vous pouvez aussi endommager le spirituel si vous lui retenez ce qui est bien pour son âme et que Ma Grâce tourne à tous les hommes et qui peut être transmis par chacun à son prochain. Celui qui est donc en possession d'un bien spirituel, l'a reçu de Moi. Mais le prochain a le même droit de s’en rassasier, et vous ne devez pas lui diminuer ce droit en lui refusant ce qui est destiné aussi à lui. Car alors vous lui enlevez d’une certaine manière ce qui appartient aussi à lui-même lorsqu’il n’en a pas encore pris en possession. Alors votre mode d'action ne révèle aucun amour pour le prochain et encore moins pour Moi, votre Dieu et Créateur de l'Éternité. Toute diminution spirituelle ou bien terrestre tombe sous ce Commandement, et chaque négligence de l'amour pour le prochain retombe sur vous-mêmes, car vous recevrez comme vous avez mesuré et il vous sera soustrait ce que vous avez soustrait aux hommes et donc vous recevrez la récompense animique et terrestre que vous avez méritée.

Et de la même manière il faut aussi comprendre le huitième Commandement : « Tu ne dois pas rendre de faux témoignage contre ton prochain. » De ta bouche il doit toujours s'écouler la pure Vérité, et tu ne dois jamais endommager ton prochain par un mensonge sur sa réputation, sur sa position vis-à-vis de son prochain. Chaque diffamation est un péché contre ce Commandement, à travers chaque parole non-vraie sur lui, l'homme endommage le prochain et agit sans amour et injustement, et il devra un jour en répondre. Si de toi il est exigé un témoignage sur ton prochain, soit sincère et plein d'amour pour lui. S’il cherche à comprendre ses erreurs, indique-les-lui affectueusement, mais ne profite pas de sa faiblesse à ton avantage en cherchant à le diminuer, pour te hausser toi-même. À travers une parole irréfléchie tu peux endommager le prochain et en lui il se réveille une pensée de vengeance, et celle-ci étouffe n'importe quel amour et rend l'homme pécheur. Tu dois certes rester sincère, donc tu ne pas louer un homme si tu sais ou a conscience qu’il ne le mérite pas, mais tout acte de désamour doit être loin de toi, et que soit loin chez toi tout acte visant à faire reculer le prochain pour ton avantage. Chaque jugement sur ton prochain qui ne correspond pas à la Vérité, est une grave infraction de ce Commandement, parce qu'il est dépourvu de n'importe quel amour et il n'est même pas à l'honneur de vous les hommes. Chaque mensonge est à condamner, et s'il crée un dommage évident au prochain, c’est un double péché, un péché contre le prochain et un péché contre Moi-Même Qui Suis l'éternelle Vérité. C’est une infraction au Commandement de l'amour contre Moi et contre le prochain.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Séptimo y octavo Mandamiento

Para mi niña que me sirve con fidelidad y perseverancia, una señal más de mi Amor y Gracia... Pues también os está dado el Mandamiento: “¡No robarás!”.

Abiertamente faltáis a este Mandamiento de amor al prójimo, como también faltáis a todo que tenga que ver con él... Debéis respetar la propiedad del prójimo, e incluso debéis protegerla contra sus enemigos; porque de lo contrario no puede ser que sintáis amor para él como Yo os lo mando. Pues, debéis amar a vuestro prójimo como a vosotros mismos... y seréis agradecidos a aquel que respeta la vuestra. Por eso haced lo mismo, para que también os ganéis el amor del prójimo.

Nada de lo que os apoderáis os traerá bendición, sino más bien os resultará en una carga que oprimirá vuestra alma - la que aspira hacia lo Alto. Pues:

“¡No robarás!”.

No son solamente los bienes mundanos que no debéis robar al prójimo. También espiritualmente podéis hacerle daño al privarle de lo que es beneficioso para su alma... de lo que mi Gracia dona a todos los hombres... y de lo que cada uno puede ofrendar a sus prójimos.

De modo que si alguien posee un bien espiritual, es porque lo ha recibido de Mí. Pero también al congénere corresponde el mismo derecho de saciarse en él - un derecho del cual no le debéis privar, negándole lo que también está pensado para él. Entonces le quitáis algo que, en cierto modo, también pertenece a él, aunque aún no haya entrado en posesión de ello; y vuestra manera de obrar demuestra vuestra falta de amor al prójimo y aún más la falta de amor para Mí, vuestro Dios y Creador desde eternidades.

Toda disminución de bienes espirituales o materiales concierne a este Mandamiento, y todo descuido del amor al prójimo recae en vosotros mismos; pues vais a recibir según vosotros medís, y os será quitado lo que vosotros quitáis a los hombres. De modo que espiritualmente y materialmente recibís la recompensa que os merecéis.

De la misma manera hay que interpretar el Mandamiento siguiente:

“¡No pronunciarás falso testimonio contra tu prójimo!”.

¡Que de tu boca siempre emane la pura verdad, y que nunca por una mentira hagas daño a tu prójimo en lo que se refiere a su reputación y su posición entre los semejantes! Toda calumnia es un pecado contra este Mandamiento. Con cada declaración falsa sobre el prójimo el hombre le causa daño; pues actúa de manera injusta y falta de amor, por lo que tendrá que justificarse. Si se te exige un testimonio acerca de tu prójimo, ¡sé honrado y lleno de amor ante él! Procura comprender sus errores y llámale la atención sobre ellos, ¡pero no abuses de su debilidad procurando a discriminarle para ventaja tuya!

Con una palabra irreflexiva puedes causar daño al prójimo, porque en él se despierta el pensamiento de tomar represalias, lo que ahoga todo amor y hace que el hombre llegue a ser pecador. Continúa en la verdad, de modo que a un hombre que no se lo merece, no le alabes contrario a tu saber y tu conciencia. ¡Pero que estés lejos de todo acto de falta de amor y de todo acto de discriminación en favor tuyo! Todo juicio que hagas sobre tu prójimo que no corresponde a la verdad es una violación infame de este Mandamiento, porque carece de todo amor y no redunda en pro de vosotros los hombres.

Hay que desaprobar cada mentira porque –como evidentemente es para el mal del prójimo– es un pecado doble - un pecado contra el prójimo y otro contra Mí mismo - contra Mí que soy la Verdad eterna... Pues es una violación de mi Mandamiento de amor a Mí y al prójimo.

Amén.

Traducteurs
Traduit par: Meinhard Füssel