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Bien et mal.... Loi d’éternité....

A ce sujet aussi Je veux vous donner une explication, car déjà le plus léger doute vous empêche de corriger l’opinion que ce serait Moi Qui aurais mis le mal dans l’être. Jamais Je n’ai créé le mal ; mais Je savais d’éternité que le mal aurait le dessus dans le monde des esprits séparés…. D’éternité Je savais aussi que Je serais considéré comme étant à l’origine du mal parce que d’éternité Je sais par quels mensonges Mon adversaire Me combattrait pour bloquer le retour vers Moi.... Mais Je n’arrêterai pas d’apporter aux hommes une lumière pour les éclairer sur Mon essence. Et des porteurs de lumière n’en finiront pas de descendre d’en haut sur terre afin de corriger justement cette opinion.

D’éternité Mon Essence est bonne, et Elle n’a jamais été capable de transmettre une pensée méchante sur les êtres créés par Elle. Il faut vous le dire d’emblée pour que vous-mêmes vous ne supposiez pas avoir été créés par Moi avec toutes les mauvaises qualités et les convoitises. Car pendant des périodes éternelles vous M’avez été intimement attachés et dans cette condition vous ne connaissiez rien d’anti divin, vous étiez cœur et âme (de même volonté) avec Moi, de sorte que vous pouviez recevoir sans entraves Ma force aimante, et en étiez infiniment bienheureux.

Mais quand maintenant Mon être créé en premier…. Lucifer ou le porteur de lumière.... M’a fait défection, et que vous deviez tous passer l’épreuve de volonté pour savoir vers quel Seigneur vous vous tourniez…. quand il vous a fallu prendre la bonne décision avec votre propre libre arbitre.... (alors) il fallait que vous puissiez choisir entre le bien et le mal, il vous fallait savoir que le mal provenait de Mon adversaire, tandis que de Moi, il ne pouvaient vous affluer que de bonnes pensées. Donc Je vous donnais de la lumière.... à savoir : le don de pouvoir distinguer le bien du mal, et éclairés par cette vive lumière vous auriez pu reconnaître d’où provenait le mal. Je tolérais le mal parce que c’était indispensable pour votre libre arbitre, mais jamais Je ne l’approuvais…. Et ainsi donc l’être pouvait assouvir une convoitise s’il en avait envie, bien qu’elle fût méchante.... comme aussi la convoitise bonne devait se trouver dans l’être, ce qui explique que tout désir doit pouvoir se déployer, parce qu’autrement, une décision ne serait pas possible.

Le fait que les êtres déchus veuillent assouvir des désirs méchants n’est donc pas dû au fait que ce désir était en eux dès le commencement ; au contraire, Mon adversaire actuel, de son côté, a transmis ce désir à ses partisans. Il fallait par conséquent que toute sensibilité soit possible à l’être, il fallait qu’il puisse éveiller en lui des convoitises, mais il ne s’ensuit pas que ces convoitises proviennent de Moi.... ce qui n’est jamais le cas quand ces convoitises sont méchantes…. comme d’autre part, chaque être non déchu a des désirs mais qui n’aspirent qu’au bien….

Mettez donc le mot « désir » à la place de « convoitise ».... (ce qui en soi est la même chose), et il vous sera compréhensible que toute sensibilité dans les êtres provient de Moi, mais que l’être lui-même lui donne sa direction.... Voilà la raison pour laquelle vous devez adresser à Moi tous vos doutes, toutes vos questions, et Je ne laisserai pas votre âme dans la détresse, Je vous éclairerai pour que vous, qui devez représenter la vérité qui vous est offerte d’en haut, soyez vous-même convaincus de la vérité.... Car c’est le moment de corriger encore beaucoup d’erreurs, même si vous croyez posséder la vérité ; car rien de ce qui atteint les hommes encore imparfaits ne reste intact, aussi pur que cela soit sorti d’en haut….

C’est pourquoi Je Me révèle toujours de nouveau pour retransmettre à la terre la vérité pure, et c’est aussi pourquoi, après l’avoir vérifié consciencieusement, vous pouvez tout accepter sans vous faire de scrupules, car il faut que la pure vérité issue de Moi puisse avoir pour effet d’être reconnue par ceux qui la reçoivent avec un désir sérieux de la vérité....

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

(Zu Buch 93 NR. 3901 vom 11.10.1946) (Buch 49) Gut und Böse.... Gesetz von Ewigkeit....

Auch darüber will Ich euch eine Erklärung geben, denn nur der geringste Zweifel hindert euch an der Richtigstellung jener Ansicht, daß von Mir aus das Böse in das Wesen gelegt wurde. Ich habe niemals das Böse geschaffen, aber Ich wußte es von Ewigkeit, daß sich das Böse in der Welt der abgefallenen Geister durchsetzen würde.... Ich wußte es von Ewigkeit, daß Ich auch als Ausgang des Bösen angesehen werden würde, weil Ich von Ewigkeit her weiß, mit welchen Lügen Mein Gegner kämpfen würde gegen Mich, um die Rückkehr zu Mir zu unterbinden.... Aber Ich führe immer wieder den Menschen ein Licht zu, das sie über Mein Wesen aufklären soll. Und es werden auch immer wieder Lichtträger von oben zur Erde niedersteigen, um gerade diese Ansicht klarzustellen.... Mein Wesen ist von Ewigkeit gut, und Es ist nicht fähig, je einen bösen Gedanken auf Seine von Ihm erschaffenen Wesen zu übertragen. Dieses muß euch vorerst gesagt werden, auf daß ihr selbst nicht annehmet, mit allen schlechten Eigenschaften und Begierden von Mir erschaffen worden zu sein. Denn ewige Zeiten waret ihr Mir so innig verbunden und kanntet in dieser Verfassung nichts Widergöttliches, ihr waret ein Herz und eine Seele (gleichen Willens) mit Mir, so daß ihr ungehemmt Meine Liebekraft empfangen konntet und dadurch unbegrenzt selig waret. Als nun aber Mein erstgeschaffener Geist.... Luzifer oder Lichtträger.... abfiel von Mir und also ihr alle die Willensprobe ablegen solltet, welchem Herrn ihr euch zuwendet.... als ihr im freien Willen euch recht entscheiden solltet.... mußtet ihr selbst auch wählen können zwischen Gut und Böse, ihr mußtet wissen, daß das Böse von Meinem Gegner ausging, während von Mir nur gute Gedanken euch zuströmen konnten. Ich also gab euch Licht.... das Unterscheidungsvermögen von Gut und Böse, und in diesem hellen Licht hättet ihr erkennen können, wo das Böse seinen Ausgang nahm. Ich duldete wohl das Böse, weil es nötig war für euren Willensentscheid, hieß es aber niemals gut.... Und so auch mußte das Wesen eine Begierde stillen können, wenn es danach verlangte, obwohl sie böse war.... wie aber auch die Begierde zum Gut-Sein in dem Wesen sein mußte und dies also so zu verstehen ist, daß jegliches Verlangen sich entfalten kann, weil anders eine Entscheidung nicht möglich war. Daß die gefallenen Wesen nur böses Verlangen stillen wollten, hat aber nicht das zum Anlaß, daß ihnen dieses Verlangen von Anbeginn an eigen war, sondern erst Mein nunmehriger Gegner hat dieses Verlangen auf seinen Anhang übertragen. Also es mußte jedes Empfinden dem Wesen möglich sein, es muß Begierden in sich erwecken können, doch brauchen diese Begierden nicht von Mir den Ausgang genommen zu haben.... was immer dann der Fall ist, wenn diese Begierden schlecht sind.... wie aber auch jedes nicht gefallene Wesen ein Verlangen hat, das sich nur dem Guten zuwendet.... Stellet also das Wort "Verlangen" anstatt "Begierde".... das an sich das gleiche ist, und es wird euch verständlich sein, daß alles Empfinden in den Wesen seinen Ausgang hat bei Mir, daß aber die Richtung dessen jedes Wesen selbst bestimmt.... Darum sollet ihr mit allen Zweifeln, mit jeder Frage zu Mir kommen und Ich werde euch nicht in der Not der Seele lassen, Ich werde euch Aufklärung geben, auf daß ihr, die ihr die Wahrheit vertreten sollet, die euch von oben geboten wird, auch selbst von der Wahrheit überzeugt seid.... Denn es gilt, noch viel Irrtum zu berichtigen, auch wenn ihr glaubet, die Wahrheit zu besitzen, denn es bleibt nichts unverändert, was zu noch unvollendeten Menschen kommt, und ob es auch noch so rein von oben ausgegangen ist.... Darum offenbare Ich Mich immer wieder von neuem, um wieder die reine Wahrheit zur Erde zu leiten, und darum könnet ihr auch ohne Bedenken annehmen, wenn ihr alles ernsthaft prüfet, denn die reine Wahrheit von Mir muß die Wirkung haben, daß sie erkannt wird von denen, die ernsten Verlangens nach der Wahrheit sie entgegennehmen....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde