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La vie terrestre est-elle une fin en soi ou bien un moyen pour un but – L’Être de Dieu

Apprenez à considérer le monde non pas comme un but en lui-même, mais comme un moyen pour un but. Alors vous évaluerez autrement votre vie terrestre, n’en faites pas le but de tous vos désirs et de vos soifs, mais cherchez votre but ailleurs. Celui qui considère la vie terrestre comme la seule chose ayant de la valeur, qui tend seulement vers des choses qui sont terrestres et qui rendent agréable la vie corporelle, qui tend à se procurer une vie terrestre seulement insouciante qui lui procure des satisfactions, considère aussi cette vie terrestre seulement comme un but en lui-même, mais son point de vue est erroné, parce qu'elle est seulement le moyen pour un but. La vie terrestre a été donnée à l'homme pour se conquérir dans celle-ci une Vie différente, une Vie qui dure dans l’éternité, qui n'est pas vécue par le corps, mais seulement par l'âme. Celui qui réfléchit sur le fait qu’il habite sur la Terre seulement pour un temps court, que lui-même ne peut pas déterminer le temps de son chemin sur la Terre, qu'un autre Être qui est au-dessus de lui, décide de sa vie terrestre, qui réfléchit sur le fait que lui-même ne décide pas de sa vie terrestre, mais que celle-ci doit être vécue selon son destin, comme le veut l'Etre qui est au-dessus de lui, de cela il devrait déjà voir, qu'à sa vie terrestre il est attaché un but qui de quelque façon doit pouvoir être atteint dans le temps du chemin sur cette Terre. Mais les hommes qui sont seulement tournés vers le monde matériel et qui veulent vivre de cette façon jusqu'au bout, ne réfléchissent pas sur cela. Pour eux le fait que leur vie est limitée est plutôt seulement une raison pour s’approprier ce qu’ils peuvent, parce qu'ils ne pensent pas à après, mais seulement au présent, ils cherchent à se former selon leurs désirs et leurs envies. Ils exigent des preuves qui leur démontrent l’existence d’une continuation de la vie ; ils évaluent seulement ce qu'ils voient, et repoussent toutes les pensées qui les mettent en garde pour ce qu’il y a après. Ils évaluent trop haut la vie terrestre, mais ils ne pourraient pas l'évaluer aussi haut s'ils l'observaient avec des yeux spirituels. Et le monde leur offre vraiment des joies auxquelles ils ne veulent pas renoncer pour une vie non démontrable après la mort. Mais ils pourraient se procurer des preuves s'ils le désiraient sérieusement, parce que rien sur la Terre n’est constant, tout passe, comme aussi l'homme passe selon le corps. Une chose cependant reste indéniable même pour l'homme le plus mécréant : la Force qui conserve tout et qui crée toujours de nouveau. Puisque la Création reste existante de façon démontrable, elle se renouvelle constamment et elle vous fournit donc le témoignage d'une Force qui ne peut pas passer dans l’éternité et donc elle agira éternellement. Et mettre en liaison cette Force avec soi-même devrait être l’effort de chaque homme, alors lui-même serait convaincu que celle-ci est aussi active en lui et qu’elle ne peut pas disparaître après la mort. Vu que l'homme est une Œuvre de Création vivante qui montre cette Force, elle doit donc être aussi en lui et abandonner l'enveloppe seulement avec la mort, mais en tant que Force elle continue à agir dans l'Univers. Elle change donc seulement de demeure, mais elle ne peut pas disparaître dans l’éternité, parce que cette Force est un Rayonnement de l'Être qui a tout créé. Et celui qui a une fois conquis cette connaissance, considère la vie terrestre seulement comme un stade transitoire, dans laquelle la Force s’est manifestée dans un homme dans un but déterminé d’action, celui de vaincre tout le matériel pour pouvoir être active totalement librement après la mort du corps, chose qui est possible seulement à travers le dépassement de la matière, et non pas au travers d’une tendance à augmenter la matière et par conséquent à enchaîner la Force à des choses qui n'ont pas de subsistance. Ces choses chargent ensuite la partie immortelle de l'homme, l'âme, qui maintenant est sans défense, bien qu’elle soit en elle-même le Rayonnement de la Force de Dieu, mais elle est encore enrobée d'épaisses enveloppes qui lui enlèvent toute liberté et dont dans la vie terrestre elle aurait certes pu se débarrasser si elle avait reconnu son but et y avait tendu.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Erdenleben Selbstzweck oder Mittel zum Zweck.... Wesen Gottes....

Lernet die Welt betrachten nicht als Selbstzweck, sondern als Mittel zum Zweck.... Dann werdet ihr auch euer Erdenleben anders bewerten, ihr werdet es nicht zum Ziel aller eurer Wünsche und Begierden machen, sondern euer Ziel anderswo suchen. Wer nur das irdische Leben von Wert erachtet, wer nur strebet nach Dingen, die irdisch sind und das körperliche Leben angenehm machen, wer danach trachtet, sich nur ein sorgenfreies, ihm Erfüllung bringendes Erdenleben zu schaffen, der sieht dieses Erdenleben auch als Selbstzweck an, und sein Denken ist verkehrt. Denn es ist nur Mittel zum Zweck.... Das Erdenleben ist dem Menschen gegeben, um darin ein anderes Leben zu erwerben, ein Leben, das ewig währet, aber nicht vom Körper, sondern nur von der Seele gelebt wird. Wer darüber nachdenkt, daß er nur für kurze Zeit die Erde bewohnet, daß er selbst nicht die Zeit seines Wandels auf Erden bestimmen kann, daß ein anderes, über ihm stehendes Wesen die Dauer seines Erdenlebens bestimmt, wer darüber nachdenkt, daß er selbst auch nicht den Verlauf seines Erdenlebens bestimmt, sondern dieser als schicksalsmäßig von ihm zurückgelegt werden muß, wie es das über ihm stehende Wesen will, der müßte schon daraus ersehen, daß ein Zweck mit seinem Erdenleben verbunden ist, daß irgendein Erfolg gezeitigt werden soll in der Zeit des Wandels auf dieser Erde. Doch darüber denken die Menschen nicht nach, die der materiellen Welt allein zugewandt sind und sich gewissermaßen ausleben wollen. Vielmehr ist ihnen die Tatsache, daß ihr Leben ein beschränktes ist, Anlaß dazu, ihm zu entziehen, was sie nur können, denn sie denken nicht an das Nachher, sondern nur an die Gegenwart, die sie sich zu gestalten suchen nach ihren Wünschen und Begierden. Sie fordern Beweise dafür, daß es ein Fortleben gibt; sie bewerten nur das, was sie sehen, und wehren alle Gedanken ab, die an ein Nachher gemahnen. Sie bewerten das Erdenleben zu hoch.... und würden es doch nicht hoch genug werten können, so sie es mit geistigen Augen betrachteten.... Und die Welt bietet ihnen wahrlich Freuden genug, die sie nicht aufgeben wollen um eines ihnen nicht beweisbaren Lebens nach dem Tode willen.... Und doch könnten sie sich Beweise schaffen, wenn sie es ernstlich wünschten.... Denn nichts auf Erden ist beständig, alles vergeht, wie auch der Mensch selbst vergeht dem Körper nach. Eines aber bleibt auch für den ungläubigsten Menschen unleugbar: die alles erhaltende und immer neues schaffende Kraft.... Denn nachweislich bleibt die Schöpfung bestehen, bzw. sie erneuert sich ständig und gibt also Zeugnis von einer Kraft, die ewig nicht vergehen kann und daher auch ewig wirken wird.... Und diese Kraft mit sich selbst in Zusammenhang zu bringen müßte eines jeden Menschen Bestreben sein, dann würde auch der Mensch selbst überzeugt sein, daß sie in ihm gleichfalls tätig ist und auch nach dem Tode nicht vergehen kann. Da der Mensch ein lebendes, Kraft-beweisendes Schöpfungswerk ist, muß also auch diese Kraft in ihm sein und nur die Hülle beim Tode verlassen, aber als Kraft noch weiterwirken können im Universum. Sie wechselt also nur ihren Aufenthalt, kann aber ewiglich nicht vergehen.... Denn diese Kraft ist eine Ausstrahlung des Wesens, Das alles erschaffen hat. Und wer diese Erkenntnis einmal gewonnen hat, der sieht auch das Erdenleben nur als ein Übergangsstadium an, wo die Kraft sich manifestiert hat in einem Menschen zum Zwecke bestimmten Wirkens.... alles Materielle zu überwinden, um als völlig frei nach dem Tode des Leibes tätig sein zu können, was aber nur möglich ist durch Überwindung der Materie, nicht durch Anstreben und Vermehren dieser und sonach Ketten der Kraft an Dinge, die keinen Bestand haben. Diese Dinge belasten dann das Unsterbliche des Menschen, die Seele, die nun kraftlos ist, wenngleich sie in sich die Kraftausstrahlung Gottes ist, doch sie ist noch von dichten Hüllen umgeben, die ihr jegliche Freiheit nehmen, die sie sich im Erdenleben aber wohl erringen konnte, wenn sie den Zweck dessen erkannt und angestrebt hätte....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde