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La libre volonté est la raison de la misère et de l’état spirituel bas

Je fortifie toujours la volonté de l'homme, mais Je ne la force pas. Et ainsi vous voyez une grande misère sur la Terre lorsque vous considérez le bas état spirituel des hommes, sachez que seulement la libre volonté des hommes l'a causée et que Ma Volonté n'est pas participante dans tout ce qui est mauvais. Mais Je laisse aux hommes la liberté de leur volonté et de leurs pensées et J’entrave rarement leurs actes qui se lèvent de leur volonté et de leurs pensées. Parce que sans la liberté de la volonté qui peut certes avoir pour conséquence une chute dans l'abîme le plus profond, duquel une remontée vers le Haut est impossible, l'homme ne peut pas arriver à la perfection, donc sans la liberté de la volonté il ne peut pas s'unir avec Moi ni devenir bienheureux. L'homme se crée lui-même son état, soit sur la Terre comme aussi dans le Règne spirituel. Parce que comme est sa volonté, ainsi est aussi son sort. Si Je lui enlève la liberté de sa volonté, de ses pensées et de ses actes, alors l'homme se trouve au même stade que l'animal qui est sous Ma Loi, qui donc agit comme Je le décide, comme cela correspond aux lois de la nature déterminées par Moi. Et alors dans l’éternité il ne pourrait pas devenir ce qui est son dernier but, un être spirituel parfait qui crée librement, qui agit dans la sagesse et dans l'amour et est bienheureux dans la pleine possession de Ma Force. Si donc d'un coté Je lui offre la plus haute Béatitude, mais que lui dans la libre volonté tende vers l'abîme de l'obscurité, il n'en sera pas entravé et les hommes eux-mêmes devront reconnaître là où peut mener la libre volonté lorsqu’elle est orientée de façon erronée, de manière à les diriger dans l’obscurité de la connaissance d'une existence terrestre manquée en vue de l'Éternité. Mes créatures ont été autrefois procédées de Moi libres, elles ont été le produit de Ma Force d'Amour et avec la possession de la libre volonté comme signe de leur perfection. Mais la libre volonté doit pouvoir se développer dans toutes les directions, l'être spirituel devait avoir la possibilité de la faire devenir active pour chaque but, bon comme aussi mauvais, et donc tourner constamment vers Moi cette volonté s'il voulait être parfait et donc bienheureux. Que maintenant dans la libre volonté il se soit éloigné de Moi parce qu'il s’est laissé influencer par un esprit fort qui avait abusé de sa libre volonté et qui, maintenant, était contre Moi, était un péché, c'est-à-dire un état tourné contre son état de perfection et tourné contre Ma Volonté qui, de toute Éternité, tend seulement au Bien et fait arriver à exécution seulement le Bien. Par conséquent l'être était sorti de l'Ordre divin dans la libre volonté. Et être en dehors de l'Ordre divin signifie aussi être en dehors de la Lumière et de la Force. La substance animique est devenu sombre, c'est-à-dire qu’elle est tombée dans un état de totale non-connaissance. Dans un état de pensées fausses et un obscurcissement total de l'esprit. Et elle est devenu aussi sans défense, c'est-à-dire qu’elle ne pouvait plus être active en créant et en formant selon Mon Ordre éternel, et elle tire seulement sa force de Mon adversaire qui l’utilisait dans un but contraire, pour agir dans une volonté opposée à Moi, pour le bouleversement des pensées et pour influencer la volonté d'autres entités, pour les éloigner de Moi. Et cela avait pour conséquence la relégation de la volonté de la substance animique, pour lui aplanir la voie du retour vers Moi, pour rendre à l'être possible ce retour. Or le retour peut à nouveau avoir lieu seulement dans le stade de la libre volonté et donc Je ne peux pas la limiter à l'homme, même lorsqu’elle agit encore beaucoup contre Ma Volonté, lorsqu’elle fait rage encore beaucoup contre elle-même, contre sa vie spirituelle. Je lui laisse la liberté de la volonté, peu importe quel effet cela aura, mais parfois Je termine par Compassion sa vie terrestre pour lui rendre encore une fois possible de reconnaître sa faiblesse, pour qu'il change sa volonté encore dans l'au-delà. Et ainsi la grande misère spirituelle comme aussi la grande misère terrestre est explicable seulement avec la libre volonté de l’homme qui peut éviter les deux s’il donne la juste direction à cette volonté, s’il tourne sa volonté vers Moi, s’il se soumet totalement à Ma Volonté et entre de nouveau lentement dans son état primordial d’être libre, fort et compénétré de Lumière, où il peut s'activer en créant et en formant selon sa volonté qui, cependant, est aussi toujours la Mienne dès que l'être est parfait.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Freier Wille Anlaß der Not und des Tiefstandes....

Den Willen des Menschen stärke Ich jederzeit, doch Ich zwinge ihn nicht.... Und so ihr die große Not auf Erden sehet, so ihr den geistigen Tiefstand der Menschen beachtet, so wisset ihr, daß nur der freie Wille der Menschen dies veranlaßt hat und daß Mein Wille unbeteiligt ist an allem, was schlecht ist. Doch Ich lasse den Menschen die Freiheit ihres Willens und Denkens und hindere auch selten ihr Handeln, das ihrem Willen und Denken entspringt. Denn ohne die Willensfreiheit, die zwar ein Versinken in die tiefsten Tiefen zur Folge haben kann, ist auch ein Aufwärtssteigen unmöglich, ohne Willensfreiheit kann der Mensch nicht zur Vollkommenheit gelangen.... ohne Willensfreiheit daher sich nicht mit Mir vereinen und selig werden. Der Mensch selbst schafft sich seinen Zustand, sowohl auf Erden als auch im geistigen Reich.... Denn wie sein Wille ist, so ist auch sein Los. Nehme Ich ihm die Freiheit seines Willens, Denkens und Handelns, dann befindet sich der Mensch im Stadium des Tieres, das unter Meinem Gesetz steht, das also tun muß, wie Ich es bestimme, wie es den von Mir erlassenen Naturgesetzen entspricht. Und dann könnte er ewiglich nicht das werden, was sein letztes Ziel ist, ein frei schaffendes, vollkommenes Geistwesen, das in Weisheit und Liebe wirket und selig ist im Vollbesitz der Kraft aus Mir.... So Ich also auf der einen Seite ihm die höchste Seligkeit biete, er aber im freien Willen den Tiefen der Finsternis zustrebt, so wird er nicht daran gehindert, und es müssen die Menschen selbst erkennen, wohin der freie Wille, wenn er verkehrt gerichtet ist, führen kann, um ihn also von selbst recht zu richten in der Erkenntnis eines verfehlten Erdendaseins im Hinblick auf die Ewigkeit. Meine Geschöpfe sind einstmals frei aus Mir hervorgegangen, Produkte Meiner Liebekraft und im Besitz des freien Willens als Zeichen ihrer Vollkommenheit. Der freie Wille mußte sich aber auch nach jeder Richtung entfalten können, es mußte das Geistwesen die Möglichkeit haben, ihn tätig werden zu lassen zu jedem Vorhaben, gutem wie auch bösem.... und also ständig Mir diesen Willen zuwenden, wenn es vollkommen und also selig sein wollte.... Daß es nun sich aus freiem Willen abwandte von Mir, weil es sich beeinflussen ließ von einem starken Geist, der seinen freien Willen mißbraucht hatte und Mir nun entgegenstand, war Sünde, d.h. zuwidergerichtet seinem Vollkommenheitszustand und zuwidergerichtet Meinem Willen, der von Ewigkeit nur das Gute anstrebt und nur Gutes zur Ausführung kommen läßt. Es war das Wesen sonach aus der göttlichen Ordnung herausgetreten im freien Willen. Und außerhalb der göttlichen Ordnung zu stehen bedeutet auch, außerhalb von Licht und Kraft zu stehen.... Es wurde das Wesenhafte lichtlos, d.h., es fiel in den Zustand völliger Unkenntnis, in den Zustand irrigen Denkens und völliger Verdunkelung des Geistes.... Und es wurde auch kraftlos, d.h., es konnte nicht mehr sich schaffend und gestaltend betätigen nach Meiner ewigen Ordnung, sondern nur noch Kraft beziehen von Meinem Gegner, die es nützte zum Gegenteil, zum Wirken im Mir entgegengesetzten Willen, zur Zerrüttung des Denkens und Beeinflussung des Willens anderer Wesenheiten, um auch diese Mir zu entfremden. Und dies zog das Binden des Willens des Wesenhaften nach sich, um ihm den Weg zur Rückkehr zu Mir zu ebnen, um diese Rückkehr für das Wesen möglich zu machen. Die Rückkehr aber kann wieder erst im Stadium des freien Willens stattfinden, und darum kann Ich dem Menschen diesen nicht beschneiden, selbst wenn er noch so sehr gegen Meinen Willen sich versündigt, wenn er noch so sehr wütet gegen sich selbst, gegen sein geistiges Leben.... Die Willensfreiheit lasse Ich ihm, ganz gleich, wie sie sich auswirkt, nur beende Ich mitunter aus Barmherzigkeit sein irdisches Leben, um ihm durch den Zustand der Kraftlosigkeit im Jenseits noch einmal das Erkennen seiner Schwäche möglich zu machen, auf daß er seinen Willen im Jenseits noch wandle.... Und so ist die geistige Not sowohl als auch die große irdische Not nur erklärbar mit dem freien Willen des Menschen, der beides von sich abwenden kann, so er diesem Willen die rechte Richtung gibt, so er seinen Willen Mir zuwendet, sich Meinem Willen völlig unterwirft und langsam wieder in seinen Urzustand eintritt.... ein freies, kraftvolles und licht-durchstrahltes Wesen zu sein, das sich schaffend und gestaltend betätigen kann nach seinem Willen, der aber stets auch der Meine ist, sowie das Wesen vollkommen ist....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde