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L'Amour et la Compassion de Dieu – l'abîme

C’est l’objet de la grande Compassion de Dieu que de soulever à Lui le faible, le mort et de lui faire goûter les Délices du Ciel. Il ne le laisse pas dans l'abîme, mais Lui-Même descend pour offrir Sa Main au mort et le mener en haut. Et celui qu'il ne lui oppose pas une résistance ouverte, est reconduit de l'abîme vers le Haut, il est changé en amour, même si cela demande un temps infiniment long et il entre en intime union avec l'éternel Amour. Ce n’est pas sa propre force, mais la Force de Dieu qui agit sur le spirituel qui tend vers le Haut, et cette Force que Dieu lui guide est la Grâce. Elle est une preuve de Son Amour qui ne jamais finit, qui se tourne toujours et éternellement vers ce qui est procédé de Lui. Cet Amour ne peut jamais s'éloigner du créé, mais toujours et éternellement il est tourné vers celui-ci, et cet Amour exige une adaptation à l'Être de Dieu, parce qu'une telle adaptation, une unification avec l'éternel Amour, fait jaillir une inimaginable Béatitude. Parce qu'il ne condamnera jamais dans l’éternité, il peut seulement se passer des éternités avant que la substance animique ait établi le rapprochement avec Dieu et donc elle doit languir loin de Dieu dans un état atroce. Il peut se passer des éternités où l'être manque de toute connaissance de Dieu et cela signifie un état de la plus extrême obscurité pour le spirituel qui primordialement pouvait disposer dans la Lumière et la liberté de la Force qui le rendait bienheureux. Et Dieu veut de nouveau lui rendre cette Béatitude du stade de la perfection, parce que Son Amour et Sa Compassion ne connaissent pas de limites. Et donc Il lui tourne d'abord Sa Grâce, Il lui offre la force pour la vie et pour tendre, parce que celle-ci est un Cadeau, vu que l'être ne fait rien par sa propre poussée pour mériter cet apport de Force, mais l'être reçoit celle-ci et ne il ne l'utilise souvent pas pour le but auquel cette Force devrait servir. L'être est tombé par sa faute, mais il ne ferait jamais devenir active sa volonté pour monter de nouveau en haut, si Dieu ne voulait pas lui tourner Sa Grâce. Mais l'Amour et la Compassion de Dieu ne laissent pas l'être dans l'état qu’il s’est causé lui-même, mais il cherche à l'aider à monter en haut. Et donc Il prodigue Grâce sur Grâce, et maintenant l'être dans le dernier stade peut l’utiliser selon sa volonté. Mais la liberté de la volonté est maintenant souvent un danger parce qu'il en abuse, parce que la volonté est employée d’une manière fausse et cela signifie une absence de développement vers le Haut. Mais l'Amour de Dieu est toujours de nouveau disposé à transmettre à l'être Sa Grâce et Sa Force, parce qu'il ne veut pas laisser dans l'abîme ce qui ne tend pas tout seul vers le Haut. Il saisit celui qui ne veut pas se laisser saisir, mais ne force pas la substance animique à Le suivre, mais Son Amour vient toujours de nouveau à sa rencontre pour le stimuler à accepter Son Aide. Car ce qui avait été créé et était destiné à la Béatitude reste dans l'abîme, parce qu'il ne sait rien de la Béatitude dans la Proximité de Dieu ; c’est le signe de reconnaissance de l'être tombé que de vivre dans l'ignorance, que d'être totalement dans la nuit et avec sa force il ne trouve pas de sortie de son état d'obscurité. Et donc la Lumière Elle-même vient dans l'abîme, même si elle n’est pas revêtue de la plénitude de son rayonnement, mais elle réveille dans l'être un désir de tendre à la rencontre de la Lumière. Et cela est une Grâce qui n'est jamais soustraite à l'être, il lui est toujours indiqué la voie vers la Lumière, seulement d’une manière différente quant à son effet selon son degré de maturité. Mais c’est toujours la force vitale qui coule vers la substance animique morte, tant qu’elle n'a pas atteint un degré de maturité qui lui permette de se rende compte de cette force vitale, parce qu'à travers celle-ci lui-même peut devenir actif dans la libre volonté, donc maintenant il peut tendre consciemment vers le Haut. Parce que l'Amour de Dieu entoure continuellement la substance animique et l'aide pour qu'elle atteigne son but. La Compassion de Dieu saisit le talent et lui donne de nouvelles possibilités pour devenir digne de Son Amour. Et même si la substance animique menace toujours et toujours de nouveau de chuter parce qu'elle oppose sa volonté à l'Amour et à la Compassion de Dieu, de nouveau elle sera toujours soulevée, Dieu la mettra toujours de nouveau sur une marche où elle puisse commencer sa remontée, parce qu'Il ne laisse rien dans l'abîme. Son Amour ne se sépare pas éternellement de Ses créatures et celles-ci sont toutes des êtres qui sont procédés avec l'utilisation de Sa Force, même lorsque la volonté de Son adversaire a été active dans leur création et qu’il a mis sa volonté détournée de Dieu dans ces êtres. Son Amour ne faiblit pas pour élever et redresser ce qui est mort et Sa Compassion Le détermine à employer toujours de nouveaux moyens pour sauver les êtres de l'obscurité et pour pouvoir les guider dans le Royaume de la Lumière d’où ils ont fui par leur propre volonté, dans ignorance de leur constitution et de leur destination. Mais Dieu les reconduit de nouveau à cette destination, même si cela demande un temps infini, parce que Son Amour et Sa Compassion ne laissent rien éternellement dans l'abîme, Il ne condamne éternellement de Sa Proximité rien de ce qui Lui appartient depuis l'Éternité.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Gottes Liebe und Erbarmung.... Tiefe....

Das ist die große Erbarmung Gottes, daß Er das Schwache, Gefallene emporhebt zu Sich und es die Wonnen des Himmels verkosten läßt.... Er beläßt es nicht in der Tiefe, sondern Er steigt Selbst in die Tiefe hinab, um dem Gesunkenen die Hand zu bieten und es zur Höhe zu führen. Und was Ihm nicht offen Widerstand entgegensetzt, das legt auch den Weg aus der Tiefe zur Höhe zurück, es wandelt sich, wenn auch in endlos langer Zeit, zur Liebe und tritt mit der ewigen Liebe in innigen Verband. Doch nicht aus eigener Kraft, sondern die Kraft Gottes wirket in dem zur Höhe strebenden Geistigen, und daß Gott ihm diese Kraft zuleitet, ist Gnade.... Es ist ein Beweis Seiner nie endenden Liebe, die immer und ewig sich dem zuwenden wird, was aus Ihm hervorgegangen ist. Diese Liebe kann sich niemals von dem Geschaffenen abwenden, sondern wird ihm immer und ewig gelten, und diese Liebe fordert eine Angleichung des Wesens an Gott.... weil eine solche Angleichung, ein Zusammenschluß mit der ewigen Liebe, unvorstellbare Seligkeit auslöst. Darum wird Gott auch nichts auf ewig verdammen, nur können Ewigkeiten vergehen, ehe das Wesenhafte die Angleichung an Gott hergestellt hat und darum ferne von Gott in einem qualvollen Zustand schmachten muß.... Es können Ewigkeiten vergehen, wo dem Wesen jegliche Erkenntnis mangelt von Gott und dies ein Zustand äußerster Finsternis bedeutet für das Geistige, das ursprünglich in Licht und Freiheit über Kraft verfügen konnte, die es selig machte. Und diese Seligkeit im Stadium der Vollkommenheit will Gott ihm wieder zurückgeben, weil Seine Liebe und Seine Erbarmung keine Grenzen kennt. Und darum wendet Er ihm zuerst Seine Gnade zu.... Er schenkt ihm Kraft zum Leben und zum Streben.... Denn es ist dies ein Geschenk, da das Wesen aus eigenem Antrieb nichts macht, um sich diese Kraftzufuhr zu verdienen, sondern das Wesen nimmt die Kraft in Empfang und nützet sie oft nicht einmal zu dem Zweck, dem diese Kraft dienen soll. Das Wesen ist gefallen durch eigene Schuld, indem sein Wille sich dem Gegner Gottes zuwandte, doch es würde nimmermehr seinen Willen tätig werden lassen, um wieder zur Höhe zu steigen, so Gott ihm nicht Seine Gnade zuwenden möchte. Gottes Liebe und Erbarmung aber lässet das Wesen nicht in seinem selbstverschuldeten Zustand, sondern Er sucht ihm zur Höhe zu verhelfen. Und darum teilet Er Gnade über Gnade aus, die das Wesen im letzten Stadium nun nützen kann nach seinem Willen. Doch die Freiheit des Willens ist nun oft eine Gefahr, weil sie mißbraucht wird, weil der Wille verkehrt genützet wird und dies keine Höherentwicklung bedeutet. Doch immer wieder ist die Liebe Gottes bereit, Seine Gnade und Seine Kraft dem Wesen zu vermitteln.... weil Er nicht in der Tiefe belassen will, was nicht von selbst zur Höhe strebt.... Er erfasset, was sich erfassen lassen will, Er zwingt das Wesenhafte nicht, Ihm zu folgen, aber Seine Liebe tritt ihm immer wieder entgegen, um es selbst zu bewegen, Seine Hilfe anzunehmen. Denn es ist das von Ihm Geschaffene bestimmt gewesen zur Seligkeit, und es verharret darum in der Tiefe, weil es nicht um die Seligkeit der Nähe Gottes weiß.... weil dies das Merkmal der Gesunkenheit ist, daß es in der Unkenntnis lebt, daß völlige Nacht um das Wesen ist und es aus eigener Kraft nicht herausfindet aus seinem Dunkelheitszustand. Und darum kommt das Licht selbst in die Tiefe, zwar nicht in seiner Fülle strahlend, doch in dem Wesen ein Ahnen erweckend, auf daß es dem Licht entgegenstrebt.... Und dies ist Gnade, die niemals dem Wesen entzogen wird, es wird ihm der Weg zum Licht stets gewiesen, nur seinem Reifegrad entsprechend verschieden in Maß und Auswirkung. Immer aber ist es die Lebenskraft, die dem gefallenen Wesenhaften zuströmt, bis es einen Reifegrad erreicht hat, daß ihm diese Lebenskraft bewußt wird, daß es durch diese selbst tätig sein kann im freiem Willen, es also nun auch bewußt zur Höhe streben kann. Denn die Liebe Gottes umgibt das Wesenhafte fortgesetzt und hilft ihm, daß es sein Ziel erreiche.... Die Erbarmung Gottes erfaßt das Unwürdige und gibt ihm neue Möglichkeiten, Seiner Liebe würdig zu werden. Und wenn auch das Wesenhafte immer und immer wieder abzusinken droht, weil es seinen eigenen Willen der Liebe und Erbarmung Gottes entgegensetzt.... es wird immer wieder emporgehoben werden, immer wieder wird Gott es auf eine Stufe stellen, wo es seinen Aufstieg zur Höhe selbst beginnen kann, denn Er lässet nichts in der Tiefe.... Seine Liebe trennt sich ewig nimmer von Seinen Geschöpfen, und Seine Geschöpfe sind alle Wesen, die unter Nützung Seiner Kraft hervorgegangen sind, selbst wenn der Wille Seines Gegners bei ihrer Erschaffung tätig war und seinen Gott-abgewandten Willen in diese Wesen gelegt hat. Seine Liebe lässet nicht ab, zu heben und aufzurichten das Gefallene, und Seine Erbarmung bestimmt Ihn, immer neue Mittel anzuwenden, um die Wesen aus der Finsternis zu erlösen und in das Lichtreich einführen zu können, dem sie aus eigenem Willen entflohen sind in Unkenntnis ihrer Beschaffenheit und ihrer Bestimmung. Doch Gott führet sie dieser Bestimmung wieder zu, wenn auch endlose Zeiten vergehen.... denn Seine Liebe und Erbarmung lässet nichts ewiglich in der Tiefe, er verbannet nichts auf ewig aus Seiner Nähe, was Ihm angehört seit Ewigkeit....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde