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Seelenarbeit.... Selbstüberwindung....

Je unverdrossener der Mensch an sich arbeitet, desto erfolgreicher ist sein Streben, denn dann hat er den ernsten Willen zu Gott, und dieser zieht auch die Kraftzuwendung nach sich, die wieder geistigen Fortschritt gewährleistet. Es erfordert die Seelenarbeit Überwindung seiner selbst, und daher ist sie nur zu leisten, wenn der Mensch stete Selbstverleugnung übt. Immer wird, was der Seele zuträglich ist, für den Körper eine Entsagung oder ein Opfer bedeuten, und darum ist ein starker Wille vonnöten, der seiner Seele mehr zugewandt ist als dem Körper. Nur unter Zurücksetzung des Körpers ist geistiger Erfolg zu erzielen, und gerade dies fällt den Menschen so schwer, denn der Körper wird sich immer mit seinem Begehren vordrängen, während die Seele zumeist sich zufriedengeben muß, wenn der Wille des Menschen sie karg bedenkt. Und daher kann erst dann die Seele in der Entwicklung fortschreiten, wenn sie mehr bedacht wird als der Körper. So kann sich der Mensch nicht genugtun in der Sorge um seine Seele, er muß unentwegt die Liebe üben, und diese zieht dann auch die Weisheit.... das Erkennen.... nach sich. Und sowie der Mensch erkennt, kann er nicht anders, als sich dem göttlichen Willen unterstellen, also das tun, was der Seele zum Heile gereicht. Wer nur den Willen Gottes zu erfüllen trachtet, dem wird der göttliche Wille auch offenbart werden, und dann trennt er sich willig von der Materie, von den Gütern der Welt.... und folglich beachtet er auch nicht, was dem Körper behagt, und er ist nur immer darauf bedacht, geistiges Gut zu sammeln, denn es werden ihm irdische Güter nicht mehr reizvoll erscheinen. Und das ist erst der segenbringende Zustand für die Menschheit, daß sie die Welt und ihre Güter unbeachtet läßt und dem geistigen Erleben sich zuwendet. Dann denken, hören und schauen die Menschen anders, d.h. immer gedenkend ihrer Seelen, und dies erst ist geistiger Fortschritt, der auf einer gewissen Entsagung beruht, auf einer Selbstüberwindung, auf einem inneren Kampf gegen das, was Anteil ist des Widersachers. Und wer ernstlich zu Gott strebt, der gibt gern und freudig hin, was ihm von Nutzen ist für den Körper, denn er tauscht dagegen etwas Wertvolleres ein.... einen erhöhten Reifegrad der Seele....

Amen

Übersetzer
Dies ist eine Originalkundgabe von Bertha Dudde

Le travail sur l'âme - l'auto dépassement

Plus l'homme travaille sur lui avec diligence, plus sa tendance aura du succès, parce qu'alors il a une sérieuse volonté pour Dieu et celle-ci attire l'apport de Force qui garantit de nouveau un progrès spirituel. Le travail sur l'âme exige un dépassement de soi-même et l’homme peut l'affronter seulement lorsqu’il s'exerce à l'autodépassement. Ce qui est avantageux pour l'âme signifie toujours un renoncement ou un sacrifice pour le corps, et donc une forte volonté tournée plus vers l’âme que vers le corps est nécessaire. Seulement dans le recul du corps on obtient un succès spirituel et cela est vraiment difficile pour l'homme, parce que le corps se poussera toujours en avant avec ses désirs tandis que l'âme doit presque toujours se contenter lorsque la volonté de l'homme la pourvoit insuffisamment. Donc l'âme peut progresser dans le développement seulement lorsqu’elle est pourvue plus que le corps. Mais l'homme ne fait pas assez pour pourvoir à son âme, il doit absolument exercer l'amour et cela a ensuite pour conséquence la Sagesse et la connaissance. Et dès que l'homme reconnaît cela il ne peut pas faire autrement que de se soumettre à la Volonté divine, donc faire ce qui est nécessaire pour le salut de l'âme. Celui qui tend à s'acquitter seulement de la Volonté de Dieu, à celui-ci la Volonté divine sera révélé et alors il se séparera volontairement de la matière, des biens du monde, et il ne s'occupera par conséquent pas de ce qui fait plaisir au corps et entendra toujours seulement ramasser du patrimoine spirituel, parce que les biens terrestres ne lui semblent plus fascinants. Et seulement cet état apporte la Bénédiction à l'homme qui laisse inaperçu le monde et ses biens et se tourne vers l'expérience spirituelle. Alors les hommes pensent, écoutent et regardent autrement, c'est-à-dire qu’ils pensent toujours à leurs âmes et seulement cela est un progrès spirituel qui se base sur un certain renoncement, sur un autodépassement, sur une lutte intérieure contre ce qui est une partie de l'adversaire. Et celui qui tend sérieusement vers Dieu, se donne aussi volontiers et joyeux ce qui lui est d'utilité pour le corps, parce qu'il l’échange contre quelque chose de plus précieux, et ainsi il augmente le degré de maturité de l'âme.

Amen

Übersetzer
Übersetzt durch: Jean-Marc Grillet