Siehe, Ich bin bei euch alle Tage.... und den Meinen stehe Ich nahe und gebe ihnen Kraft.... Ein unendlich beruhigender Gedanke ist es, sich vom Herrn der Schöpfung beschützt zu wissen, und es werden darum auch die Menschen ihren Lebensweg in Frieden zu Ende gehen können, die im Herrn ihren Freund und Beschützer und ihren Vater sehen. Werdet wie die Kinder und vertrauet euch dem Vater an!.... Er höret euer Gebet und stehet euch bei in euren Nöten, denn Sein Wille ist es, daß ihr bewahret werdet vor Herzeleid und ohne solches zu Ihm findet. Jede Seele empfängt durch die Gnade Gottes so wunderbare Beweise Seiner Liebe und wird des öfteren sich dieser Liebesbeweise erfreuen dürfen, je mehr sie sich Ihm zuwendet. Um so begreiflicher ist es, daß sich die rechte Verbindung mit dem Herrn dann ergibt, wenn Seine Liebe das Menschenkind umfaßt und sich dieses so äußert, daß Er Kraft verheißet auf Erden, der göttlichen Kraft gleich. Ihr werdet erkennen, daß ein unsichtbarer Zusammenschluß des Geistes mit der Seele stattfindet, so ihr dieser Kraft in euch inne werdet, denn Gott läßt dort diese außerordentliche Gnade zu, wo der eigene Wille die Vollkommenheit anstrebt und wo ein fortgesetztes Arbeiten an der Seele diese in den Zustand versetzt, daß der Geist sich vereinen kann mit der Seele und sonach aller Zwang der Materie von dieser abfällt. Es ist ein Kampf ohnegleichen, den ein Erdenkind ausfechten muß, will die Seele die Ketten der Materie von sich abschütteln.... ohne die Gnade Gottes wäre solches unmöglich, denn die Kraft des Menschen reicht bei weitem nicht aus, doch jeder Seele sind eben ungeheure Mittel geboten worden durch die Liebe des Herrn.... Jeder verlangende Gedanke bewirkt, daß diese Mittel der Seele zugewendet werden, und somit wieder ist der Weg ein leichter, wenn die Gnade Gottes erfleht wird.... doch achten die Menschen des Gebetes nicht, so werden sie in ihrem etwaigen Bemühen, zur Höhe zu gelangen, sehr bald nachlässig werden.... sie erreichen nichts durch eigene Kraft, werden müde und lassen bald ganz ab von ihrem Vorhaben. Doch die Seele bangt und fürchtet diese Trägheit und leidet unsäglich, wenn der Wille des Menschen nachläßt. Aus der geistigen Welt aber kann ihm auch wenig Hilfe kommen, denn ihre Bewohner harren gleichfalls auf den Bittruf, ehe sie eingreifen dürfen.... In solcher Verlassenheit wird sich die Seele oft genötigt fühlen, einen offenkundigen Treubruch am Körper zu begehen. Sie wird diesen in die schwersten innerlichen Konflikte kommen lassen und ihm geistige Depressionen nicht ersparen können, so daß der Körper trotz Wohlleben und Erfüllen irdischer Begehren keine Ruhe findet und in wahrer Selbstzermürbung die Tage verbringt, und dieses Einwirken der Seele auf den Körper kann mitunter diesen bestimmen, von weltlichem Verlangen abzulassen und die Gedanken dem geistigen Leben zuzuwenden.... Ließen die Menschen solche inneren Warnungen, Mißstimmungen und qualvolle Selbstvorwürfe nicht unbeachtet vorübergehen, so würden sie oft viel eher zur Einsicht gelangen, und die Seele würde es ihnen danken. Nur in der ständigen Drangsalierung des Körpers findet die Seele Unterstützung von seiten liebender Geistwesen, so diese nicht direkt um Hilfe angerufen werden. Jeder Fehlschlag, jedes Ärgernis und jedes unerquickliche Geschehnis ist gleichsam eine Hilfeleistung von drüben, um die Seele zu unterstützen, den Körper gefügig zu machen, so daß sich Seele und Körper gemeinsam der Arbeit an sich selbst hingeben. Und wiederum ist ein solches gemeinsames Arbeiten unerläßlich, soll die Seele den Reifegrad erreichen, den göttlichen Geist in sich bergen zu können. Denn wo der Körper nicht den gleichen Weg geht, ist die Materie ein unüberwindliches Hindernis zur Einigung der Seele mit dem Gottesgeist. Jede Arbeit der Seele muß vom Körper zugleich ausgeführt werden, es muß ein volles Einverständnis herrschen von Körper und Seele.... und ohne Widerstand muß der Körper ausführen, was der Seele allein dienlich ist....
Amen
ÜbersetzerRegarde, Je suis avec toi tous les jours et Je suis près des Miens et leur donne la Force. C’est une pensée infiniment tranquillisante que de se savoir protégé par le Seigneur de la Création, et les hommes, qui voient dans le Seigneur leur Ami, leur Protecteur et leur Père, pourront donc parcourir en paix leur vie jusqu'à la fin. Devenez comme les enfants et confiez-vous au Père! Il écoute vos prières et vous assiste dans vos misères, parce que c’est Sa Volonté que vous soyez sauvés de la souffrance du cœur et que vous Le trouviez sans celle-ci. Chaque âme reçoit à travers la Grâce de Dieu des preuves magnifiques de Son Amour et peut se réjouir souvent de ces démonstrations d'Amour plus elle se tourne vers Lui. Donc il est encore plus compréhensible que la juste liaison avec le Seigneur a lieu seulement lorsque Son Amour embrasse le fils humain et ceci se manifeste par la promesse de la Force sur la Terre à ceux qui s’engagent pour obtenir la Force divine.
Vous vous rendrez compte qu'a lieu une invisible unification de l'Esprit avec l'âme lorsque cette Force s’exerce en vous, parce que Dieu permet cette Grâce extraordinaire là où votre propre volonté aspire à la Perfection et où un travail continu sur l'âme met cette âme dans l'état où l'Esprit peut s'unir avec elle et ensuite expulser d’elle toute contrainte de la matière. C’est une lutte sans merci, qu’un fils terrestre doit mener. Si l'âme veut ébranler toute seule les chaînes de la matière, sans l’aide de la Grâce de Dieu cela serait impossible, parce que la force de l'homme ne suffit pas et de loin, mais à l'âme ont été justement offerts d’immenses moyens à travers l'Amour du Seigneur. Chaque pensée qui les sollicite a pour effet que ces moyens soient donnés à l'âme et avec cela tout devient léger lorsque l'âme supplie pour obtenir la Grâce de Dieu, mais si les hommes négligent la prière, alors avec leur propre force il leur sera impossible d'arriver en haut, très vite ils deviendront découragés, ils n’atteindront rien avec leur propre force, ils se fatigueront et vite ils renonceront à leur but. Mais l'âme craint et a peur de cette activité et souffre indiciblement lorsque la volonté de l'homme cède. Il ne pourra lui arriver que peu d'aide en provenance du monde spirituel parce que leurs habitants attendent aussi son appel à l'aide avant de pouvoir intervenir. Dans un tel abandon l'âme se sentira souvent obligée de commettre une infidélité évidente au corps. Elle le fera arriver dans les plus difficiles conflits intérieurs et elle ne pourra pas lui épargner des dépressions spirituelles, de sorte que le corps, malgré son bien-être et l’accomplissement de ses désirs terrestres, ne trouve aucune paix et passe ses jours dans l'attrition de soi et la démoralisation, et cette action de l'âme sur le corps peut parfois le conduire à se défaire des désirs mondains et à tourner ses pensées vers la vie spirituelle. Si les hommes ne laissaient pas passer de tels avertissements intérieurs sans y prendre garde, sans laisser éclater leur mauvaise humeur ou en faisant leur autocritique, ils arriveraient souvent bien plus vite à la compréhension et l'âme les en remercierait. Seulement dans le mauvais traitement constant du corps l'âme trouve le soutien de la part d'êtres spirituels affectueux, si ceux-là ne sont pas appelés directement pour aider. Chaque faillite, chaque chagrin et chaque événement fâcheux est comme une prestation d'aide de l'au-delà, pour soutenir l'âme et l’aider à rendre plus malléable le corps, pour que l'âme et le corps se consacrent ensemble au travail sur lui-même. Et d'autre part un tel travail commun est inévitable, si l'âme doit atteindre le degré de maturité, pour pouvoir cacher en elle l'Esprit divin, parce que là où le corps ne parcourt pas la même route, la matière est une entrave infranchissable pour l'unification de l'âme avec l'Esprit de Dieu. Chaque travail de l'âme doit être en même temps exécuté par le corps, il doit régner une totale syntonie entre le corps et l'âme, et le corps doit exécuter sans résistance ce qui sert uniquement à l'âme.
Amen
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