Je vais répondre à toutes vos questions d’ordre spirituel. Mais il faut d'abord que vous sachiez que ce n'était pas dans Ma Sainte Volonté que vous ayez une vie si pénible. Je Me serais contenté de la durée de votre séjour dans la loi d’obligation, c’est à dire sans le libre-arbitre, car cette période infiniment longue aurait suffi pour que vous puissiez vous unir de nouveau à Moi. Mais il fallait que J'exige la dernière mise à l'épreuve de votre libre-arbitre, en tant qu'être humain, doté de la conscience de soi-même.
Vous n’aviez qu’à vous en remettre volontairement à Moi, et vous auriez ainsi effacé l'immense péché de votre chute. Votre amour pour Moi aurait fait ses preuves, vous qui vous étiez détournés jadis de Mon Amour. C'est pourquoi la création des premiers hommes était bonne. Ils M'étaient soumis en amour, car Je les avais dotés merveilleusement de tout ce dont ils avaient besoin, Je leur donnai la terre, tout leur était soumis, et ils Me reconnaissaient comme leur Dieu et Créateur, ils étaient entourés de merveilles. Ils pouvaient s'en réjouir, tout était fait pour qu'ils puissent Me chanter et Me louer, et M'offrir un amour ardent.
Ils ne portaient en eux-mêmes aucune mauvaise pensée, cependant, comme pour l'esprit originel issu de Moi, il fallait que Je leur donne aussi le libre-arbitre sans lequel ils n’étaient que des robots. Et parce que jadis ils se détournèrent de Moi pour suivre volontairement Mon adversaire dans sa chute, celui-ci avait donc le même droit d'influencer les premiers hommes. Car la volonté du libre arbitre devait décider de suivre Lucifer ou de Me suivre.
Et ils échouèrent dans cette épreuve qui était pourtant facile pour eux, et par la même occasion toutes les mauvaises tendances se réveillèrent. Tendances qu'ils avaient déjà surmontées avant d'être homme. Les archétypes transmirent leur façon d'être à leurs descendants, et il leur était de plus en plus difficile de se libérer de l’emprise de l'adversaire. Si les premiers hommes avaient réussi l'épreuve du libre- arbitre, - ce qu’il leur aurait été facile – Je Me serais contenté du précédent chemin infiniment long – ce qui était facile pour eux – et leurs descendants auraient pu M'offrir à nouveau leur amour délibérément. Ils ne seraient passés sur terre que pour se réjouir de la création, ils n'auraient eu qu'une bonne influence sur elle, de sorte que chacun d'eux aurait pu devenir rapidement un être humain et la vie sur terre n'aurait plus été qu'un avant-goût de la félicité éternelle. La puissance de l'adversaire aurait été annihilée, parce que les premiers hommes se seraient consciemment abandonnés à Moi, excluant complètement l'adversaire qui n’aurait pu utiliser sa puissance, ce dont il serait devenu conscient et redevenu humble et se serait incliné devant la puissance de Mon amour.
Il n'a été demandé aux premiers hommes que de se laisser irradier délibérément par Moi et le péché originel aurait été effacé. Car seul, l'amour pouvait effacer le péché. Et celui-ci se renouvela. Ce qui était tombé avant uniquement sur l'esprit déchu, retomba alors sur toute l'humanité. Ce qui aurait été facile d'obtenir par les premiers hommes s'ils avaient bien orienté leur volonté, devint alors infiniment plus difficile, parce que tous les attributs sataniques s'installèrent en l'homme, ce qui exigeait une force beaucoup plus considérable pour lutter contre eux, et la volonté de l'homme ne pouvait plus y parvenir.
C'est alors que l'ŒUVRE RÉDEMPTRICE DE JÉSUS CHRIST devint indispensable, et c’est ainsi que l’Amour originel, source de vie et de lumière s’offrit volontairement par Amour pour souffrir et mourir sur la croix pour effacer ce double péché que constitue la violation de la Loi éternelle de la vie. Je savais depuis le commencement que ce second péché aurait lieu, aussi Ma miséricorde ne voulait pas que les hommes suivent un tel chemin de souffrance et de douleur, mais Je ne pouvais pas supprimer la liberté de la volonté. Et comme Je savais qu’un jour tous les êtres déchus reviendraient à Moi – du fait que mille années sont pour Moi comme une seule journée – et qu’il s'agissait de la vie éternelle dans la félicité, (ce que vous ne manquerez pas de découvrir un jour) cela doit vous donner la force et une espérance capable de surmonter toutes les épreuves. Et dès que vous serez libérés de toutes vos souffrances, vous deviendrez des êtres parfaits et entrerez en possession d'une félicité qui compensera toutes vos douleurs passées, et qui ne peut être comparée ici-bas.
Vous ne devez jamais oublier que ce n'est pas Moi qui ai provoqué l'indescriptible souffrance que les hommes se sont attirés eux-mêmes depuis la chute, que J'ai donné vraiment toutes les possibilités aux premiers hommes pour réussir l'épreuve du libre-arbitre, que Je ne leur ai donné qu'un commandement facile à respecter, qu'ils auraient pu facilement accomplir si leur amour avait été assez fort pour les diriger, afin qu'ils se confient entièrement à Moi, et qu’enfin leur amour ardent aurait pu fortifier les générations suivantes et celles-ci auraient alors pu résister à toutes les tentations de Mon adversaire. Hélas, la deuxième chute se produisit, accablant de nouveau tous les hommes jusqu'à l’arrivée de JÉSUS-CHRIST, le divin rédempteur, pour combattre ouvertement Mon adversaire. Car celui-ci abusa de son pouvoir, dans la mesure où il incita les hommes à un égoïsme effréné, ce qui faisait disparaître l'amour, et affaiblir leur volonté, de sorte que sans l’œuvre rédemptrice, ils n’auraient jamais pu se libérer, mais au contraire sombrer de plus en plus bas dans les ténèbres.
J'opposai alors une limite à cette action - J'envoyai Mon Fils sur terre POUR SAUVER LES HOMMES QUI VOULAIENT BIEN SE LAISSER SAUVER. Car, de nouveau, il fallait que la volonté de leur libre-arbitre soit d'accord pour accepter les grâces de la rédemption. Car celle-ci ne pouvait agir sans l'accord de l'homme. Car dès le commencement du passage dans les créations de la terre, cela devait suffire à l'épreuve de la volonté du libre-arbitre de l'homme, car chaque âme avait déjà assez mûri par les nombreuses souffrances endurées dans la loi de la contrainte, de sorte qu'elle aurait pu résister facilement à la tentation, cependant, la chute du premier homme rendit de nouveau à l'adversaire le pouvoir sur les âmes, pouvoir dont il se servit de manière sordide.
C'est pourquoi un esprit originel capable de résister à l'adversaire fut choisi pour le premier homme, mais il ne pouvait être contraint. Il devait rester libre de penser et d'agir, et mon adversaire en profita pour orienter cette volonté vers lui, ce qui provoqua la nouvelle chute des esprits envers Moi. Ce droit de Mon adversaire ne pouvait pas lui être refusé, du fait que la première chute eut lieu de façon délibérée, et qu'ils le suivirent volontairement dans les ténèbres.
Vous ne pouvez donc pas prétendre que J'ai voulu cette deuxième chute pour vous plonger de nouveau dans la misère et la souffrance. Cependant Je ne pouvais pas empêcher cela, parce que cela se produisit délibérément, et que cette volonté changera un jour à Mon avantage, c'est-à-dire que vous sortirez assurément un jour de cet état qui ne peut qu'éveiller la pitié, PARCE QUE MON AMOUR VOUS A LIBERÉ, dans la mesure qu’il s'est incarné en la personne de JÉSUS, pour combattre l'adversaire, et lui retirer les âmes qui veulent bien revenir dans LA MAISON DU PÈRE - leur vraie patrie - qu'elles abandonnèrent jadis de leur plein gré. Car mon amour est immuable, il vous appartient comme auparavant, et toutes les souffrances auront une fin, dans la mesure où vous voulez bien vous libérer de celui qui vous enchaîne encore, et dans la mesure où vous vous languissez de Moi, et Me donnez ainsi le droit de prendre possession de vous de nouveau, et de rester éternellement dans la maison originelle de votre Père Céleste.
Amen
TraducteursJede geistige Frage beantworte Ich, die ihr Mir stellet. Doch ihr müsset vorerst das eine wissen, daß es nicht Mein Wille gewesen ist, euch durch ein so überaus schweres Erdenleben hindurchgehen zu lassen, daß Ich Mir wahrlich hätte genügen lassen an der Zeit, die ihr im gebundenen Willen.... im Mußgesetz.... zugebracht habt, denn diese Zeit war so entsetzlich lang, daß sie wahrlich genügt hätte, daß ihr euch wieder mit Mir vereinigen konntet.... daß Ich aber die letzte Erprobung eures Willens verlangen mußte, die ihr nun als ichbewußte Wesen.... als Mensch.... ablegen solltet. Ihr solltet euch nur freiwillig Mir wieder hingeben, und ihr hättet dadurch die große Sünde des einstigen Abfalls von Mir aufgehoben.... Eure Liebe zu Mir solltet ihr unter Beweis stellen, die ihr euch einstens wehrtet gegen die Liebeanstrahlung.... Darum waren die ersten Menschen gut geschaffen, sie waren Mir in Liebe ergeben, denn Ich hatte sie mit allem versehen, Ich gab ihnen die Erde zu eigen, Ich machte ihnen alles untertan, sie erkannten Mich als ihren Gott und Schöpfer.... sie waren umgeben von herrlichen Werken Meiner Schöpfermacht.... sie konnten sich daran erfreuen.... alles war nur dazu angetan, daß sie Mir Lob und Dank singen konnten.... daß sie Mir heiße Liebe entgegenbringen konnten, und sie selbst hatten auch keinen bösen Gedanken in sich.... Doch den freien Willen mußte Ich den ersten Menschen genauso schenken, weil sie als Urgeister von Mir ausgegangen sind, die ohne freien Willen nicht zu denken waren. Und weil sie sich einmal abgewandt hatten von Mir und freiwillig Meinem Gegner zur Tiefe folgten, hatte dieser das gleiche Recht, auf die ersten Menschen einzuwirken, weil sich wieder der Wille entscheiden sollte, ob er Mir oder ihm folgen wollte.... Und diese Willensprobe, die ihnen leicht hätte fallen müssen, bestanden sie nicht, und dadurch wurden nun auch wieder alle bösen Triebe geweckt, die sie schon in der Zeit vor der Verkörperung als Mensch überwunden hatten.... Die Stammeltern übertrugen nun ihre Wesensart auf die nachfolgenden Geschlechter, und immer schwerer wurde es für diese, von der Fessel des Gegners freizukommen. Hätten aber die ersten Menschen die Willensprobe bestanden, die nicht allzuschwer gewesen ist, so hätte Ich Mir genügen lassen an dem endlos langen Wege zuvor.... Die nachfolgenden Menschen hätten Mir ebenso freiwillig ihre Liebe wieder geschenkt, sie wären dann nur über die Erde gegangen, um sich an ihren Schöpfungen zu erfreuen.... sie hätten auf alle Schöpfungen nur guten Einfluß ausgeübt, so daß auch jene sich als Mensch verkörpern konnten. Und das Erdenleben wäre dann nur eine Vorstufe zum ewigen Leben gewesen, die Macht des Gegners wäre gebrochen worden, weil die ersten Menschen ganz bewußt sich Mir hingegeben und den Gegner völlig ausgeschaltet hätten, der nun seine Macht nicht mehr anwenden konnte und bald auch sich selbst Meiner Liebe ergeben hätte.... Es ist also nur von den ersten Menschen verlangt worden, daß sie sich freiwillig von Mir wieder anstrahlen ließen, und die Ursünde wäre aufgehoben worden, denn nur Liebe konnte diese Sünde entsühnen.... Doch nun wurde die Sünde wiederholt.... und was sich zuvor nur auf die in der Schöpfung gebundene geistige Welt erstreckte, das befiel nun die gesamte Menschheit.... Was die ersten Menschen mit Leichtigkeit hätten erreichen können, wenn sie ihren Willen recht gerichtet hätten, das wurde nun endlos schwer, weil sich alle satanischen Eigenschaften in den Menschen festsetzten, gegen die anzukämpfen große Kraft erforderte, die der Wille des Menschen nicht mehr aufbrachte. Also wurde nun das Erlösungswerk Jesu Christi nötig, des Lichtgeistes, Der Sich freiwillig erboten hatte, als Er erkannte, daß die ersten Menschen versagten, Der Sich Mir antrug, freiwillig.... aus Liebe.... zu leiden und zu sterben am Kreuz, um diese nun verdoppelte Sünde zu entsühnen. Ich wußte es wohl von Anbeginn, daß dieser zweite Sündenfall stattfand, aber Ich wollte es nicht, daß die Menschen einen so qualvollen Gang gehen mußten, konnte aber nicht den Willen der Menschen unfrei machen. Und da Ich es weiß, daß Ich alle Wesen einmal zurückgewinnen werde.... da vor Mir tausend Jahre sind wie ein Tag.... da es sich um ein ewiges Leben in Seligkeit handelt.... was auch ihr einmal erkennen werdet.... (1.7.1965) brauchet ihr keine Bedenken zu haben, daß ihr einmal frei sein werdet von jenen Qualen, ihr dann aber als höchst vollkommen geworden auch jene Herrlichkeiten werdet genießen können, die alles Leid der vergangenen Zeit aufwiegen und nicht mit irdischen Begriffen gemessen werden können. Immer müsset ihr es wissen, daß nicht Ich das unsägliche Leid, das die Menschen seit dem Sündenfall der ersten Menschen sich selbst also geschaffen haben, veranlaßt habe, daß Ich wahrlich dem ersten Menschenpaar (den ersten Menschen) jede Möglichkeit gab, ihm/ihnen den freien Willensentscheid leichtzumachen.... daß Ich ihm/ihnen nur ein leichtes Gebot gab, das es/sie erfüllen konnte/n.... wenn in ihm/ihnen die Liebe so stark war, daß diese allein sie bestimmte, sich Mir hinzugeben.... daß dann aber auch diese innige Liebe alle nachfolgenden Menschen erfaßt hätte, daß diese also auch Meinem Gegner widerstehen konnten in allen Versuchungen. So aber hatte der zweite Fall stattgefunden und alle nachfolgenden Menschen erneut belastet, bis der göttliche Erlöser Jesus Christus zur Erde niederstieg, um Meinem Gegner einen offenen Kampf zu liefern. Denn dieser mißbrauchte seine Macht, indem er die Menschen zu immer größerer Lieblosigkeit trieb und ihren Willen stets mehr schwächte, so daß sie ohne das Werk der Erlösung nicht mehr frei werden konnten, sondern immer tiefer absanken in die Finsternis. Und diesem Wirken setzte Ich Selbst eine Grenze.... Ich sandte Meinen Sohn zur Erde, um die Menschen zu erretten, die sich retten lassen wollten. Denn wieder muß der freie Wille dazu bereit sein, die Gnaden des Erlösungswerkes anzunehmen, weil auch das Rettungswerk nicht wider den Willen des Menschen vollbracht werden kann.... Es sollte wohl ursprünglich der Gang durch die Schöpfungen der Erde genügen, um die Willensprobe als Mensch nun ablegen zu können, denn eine jede Seele war durch diese Qualen im Mußzustand schon so weit ausgereift, daß sie leicht den Versuchungen widerstehen konnte, doch der Fall der ersten Menschen gab dem Gegner wieder Macht über alle Seelen, die er ausgenützt hat in erschreckender Weise. Darum war als erster Mensch gerade ein Urgeist gewählt worden, der alle Fähigkeiten besaß, um dem Gegner standhalten zu können, aber er konnte nicht gezwungen werden zu seinem Entscheid, er mußte völlig frei im Denken und Handeln bleiben, und es sorgte nun Mein Gegner dafür, diesen freien Willen sich selbst zuzuwenden, was also den erneuten Fall zur Folge hatte, wodurch die Sünde des Abfalles der Geister von Mir wiederholt wurde. Doch es konnte Meinem Gegner dieses Recht nicht verweigert werden, weil der einstige Fall im freien Willen geschah und sie ihm in die Tiefe gefolgt sind.... Ihr könnet also nicht sagen, daß Ich den wiederholten Fall wollte, um euch nun wieder in den Zustand größter Qualen zu versetzen, doch Ich konnte ihn nicht verhindern, weil er auch wieder im freien Willen vor sich ging und dieser freie Wille sich auch einmal Mir wieder zuwenden wird, also sicherlich ihr einmal aus diesem erbarmungswürdigen Zustand herauskommet, weil Meine Liebe Selbst euch erlöst hat, indem Sie Sich in dem Menschen Jesus verkörperte, um gegen den Widersacher zu Felde zu ziehen und ihm alle die Seelen zu entwinden, die wieder zu Mir zurückkehren wollen in ihr Vaterhaus, in ihre wahre Heimat, die sie einst freiwillig verließen. Denn Meine Liebe gehört euch wie zuvor, und alles Leid wird sein Ende gefunden haben, sowie ihr frei sein wollet von dem, der euch noch gefesselt hält, sowie ihr wieder nach Mir verlanget und Mir also das Recht gebet, daß Ich euch wieder in Besitz nehme, auf daß Ich ewig nicht mehr von euch lasse....
Amen
Traducteurs