Comme vous vous comportez envers Moi, ainsi Moi aussi Je Me comporte envers vous. Si vous voulez vous soustraire à Mon Influence, si vous ne voulez pas profiter de Ma Grâce, Je vous en laisse la très pleine liberté ; et si vous ne voulez pas Me reconnaître et croyez pouvoir vivre sans Mon Aide, même dans cela Je ne vous force pas. Si vous ne voulez pas profiter de Moi et de Ma Force, alors vous devez mettre à l'épreuve votre force, et vite vous pourrez reconnaître combien vous êtes faibles ; à moins que vous préfériez vous procurer votre force chez Mon adversaire, c'est-à-dire en bas, mais celle-ci vous tirera ensuite vers le bas pour des temps éternels. A celui qui Me cherche, Je viens à sa rencontre, celui qui M'appelle, Je l’écoute ; mais celui qui se détourne de Moi, Je ne le retiens pas, et celui qui est Mon ennemi est dans un état malheureux par sa faute, et il y reste jusqu'à ce que lui-même change ses pensées. Vous les hommes vous vous créez vous-mêmes votre sort au moyen de votre prédisposition envers Moi. Je vous couvre d'Amour et de Grâce, si vous-mêmes établissez le juste rapport avec Moi, mais vous irez les mains totalement vides si vous n'êtes pas dans le juste rapport avec Moi. Parce que Je ne détermine pas vos pensées, votre volonté et vos actes, mais Je vous aide si vous voulez vous faire aider. Le juste rapport avec Moi vous garantit toutefois des pensées justes. Et donc la chose la plus importante est que vous entriez dans le juste rapport filial avec Moi, parce qu'alors vous parcourez immanquablement la voie qui mène au but, à votre perfection, qui est le but de votre vie terrestre. Le juste rapport filial inclut tout, la sensation de votre imperfection, la foi et la confiance en Moi et en Mon Aide, le désir de Moi, de l'unification avec Moi, le Père, et donc aussi une volonté orientée d’une manière juste. Alors une très pleine mesure de Grâce est à votre disposition, vous n'êtes alors plus faibles, vous n’êtes plus des êtres sans défense, mais Ma Force d'Amour vous afflue incessamment, et vous mûrissez dans d’une certaine manière par votre volonté dans votre âme. Vous vous unissez avec Moi, parce que votre désir de Moi trouve son accomplissement comme preuve de Mon Amour de Père.
Mais celui qui se sépare de Moi, qui ne Me reconnaît pas comme Père et Créateur de l'Éternité, qui est encore d'esprit arrogant, qui se sent fort même sans Ma Force, est de toute façon un être malheureux qui se laisse duper par l'apparence, qui considère suffisant sa force vitale, et à la fin de sa vie il devra de toute façon reconnaître sa totale faiblesse, lorsqu’il aura perdu sa force vitale et qu’il ne lui sera concédé aucune Aide de la part de Celui qu’il a renié. Je donne sans mesure, lorsque Mon Don est désiré, mais Je n'oblige personne à accepter Mon Don de Grâce. Et comme vous vous comportez envers Moi, ainsi Moi aussi Je Me comporte envers vous, mais cela, non pas par manque d'Amour, mais pour ne pas mettre en danger votre libre volonté, parce que Mon Amour est toujours très grand et Je ne vous laisserai jamais dans la misère, si celle-ci en venait à endommager votre âme. Donc Je dois laisser à chaque homme sa liberté de volonté jusqu’à ce que lui-même tourne sa volonté vers Moi, car alors Je le saisis et Je ne le laisse jamais plus retomber. Alors sa résistance est cassée, et Je peux lui concéder Mon Aide dans une très grande mesure. Alors il a établi le juste rapport avec Moi et finalement il va à la rencontre de sa perfection.
Amen
TraducteursWie ihr euch zu Mir verhaltet, so auch verhalte Ich Mich zu euch.... Wollet ihr euch Meinem Einfluß entziehen, wollet ihr Meine Gnade nicht in Anspruch nehmen, so lasse Ich euch vollste Freiheit; wollet ihr Mich nicht anerkennen und glaubet ihr, ohne Meine Hilfe leben zu können, so tue Ich euch auch hierin keinen Zwang an.... Ihr müsset dann eben selbst eure Kraft erproben und erkennen, wie schwach ihr seid, wenn ihr es nicht vorzieht, euch Kraft von unten zu verschaffen, die euch aber dann herabzieht auf ewige Zeiten. Wer Mich sucht, dem komme Ich entgegen, wer zu Mir rufet, den höre Ich; wer sich abwendet von Mir, den halte Ich nicht, und wer Mein Feind ist, dessen Zustand ist aus eigener Schuld unselig, und er bleibt darin so lange, bis er selbst seine Gesinnung ändert. Ihr Menschen schaffet euch selbst euer Los durch eure Einstellung zu Mir. Mit Liebe und Gnade überschütte Ich euch, so ihr selbst das rechte Verhältnis zu Mir herstellt, während ihr völlig leer ausgeht, so ihr nicht im rechten Verhältnis zu Mir steht. Denn Ich bestimme euch nicht zu eurem Denken, Wollen und Handeln, doch Ich helfe euch, so ihr euch helfen lassen wollet. Das rechte Verhältnis aber garantiert auch rechtes Denken, und darum ist es das Wichtigste, daß ihr zu Mir in das rechte Kindesverhältnis tretet, weil ihr dann unfehlbar den Weg gehet, der zum Ziel führt, zu eurer Vollendung, die Zweck eures Erdenlebens ist. Das rechte Kindesverhältnis schließt alles ein, das Gefühl der eigenen Unvollkommenheit, den Glauben und das Vertrauen auf Mich und Meine Hilfe, das Verlangen nach Mir, nach der Vereinigung mit dem Vater und also auch den recht gerichteten Willen.... Dann steht euch ein übervolles Maß von Gnade zur Verfügung, dann seid ihr nicht mehr schwache, hilflose Wesen, sondern Meine Liebekraft strömt euch unaufhaltsam zu, und ihr reifet gewissermaßen aus eigenem Willen an eurer Seele.... Ihr schließet euch mit Mir zusammen, weil euer Verlangen nach Mir auch Erfüllung findet als Beweis Meiner Vaterliebe.
Wer aber sich von Mir absondert, wer Mich nicht anerkennt als Vater und Schöpfer von Ewigkeit, der ist noch überheblichen Geistes, er fühlt sich stark auch ohne Meine Kraft und ist doch ein unglückseliges Wesen, das sich von einem Schein trügen lässet.... das die Lebenskraft als ausreichend ansieht und am Ende des Lebens seine völlige Schwäche erkennen wird, wenn es die Lebenskraft eingebüßt hat und ihm keinerlei Hilfe gewährt wird von Dem, Den es verleugnete. Ich gebe ungemessen, so Meine Gabe begehrt wird, aber Ich dränge keinem Wesen Meine Gnadengabe auf. Wie ihr euch zu Mir verhaltet, so verhalte auch Ich Mich zu euch, doch nicht aus Liebemangel, sondern um euren freien Willen nicht zu gefährden, weil Meine Liebe stets übergroß ist und euch niemals in der Not lassen würde, wenn dies nicht zum Schaden eurer Seele wäre. Darum muß Ich einem jeden Menschen seine Willensfreiheit belassen und warten, bis er selbst den Willen Mir zuwendet. Dann aber erfasse Ich ihn und lasse ihn nimmermehr fallen.... Dann ist sein Widerstand gebrochen, und Ich kann ihm Hilfe gewähren im Übermaß. Dann stellt er das rechte Verhältnis zu Mir her und geht der Vollendung entgegen....
Amen
Traducteurs