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L'Amour a accompli l'Œuvre de Libération

L'Amour de l'Homme Jésus pour Son prochain était si grand qu’il l'a poussé à prendre sur Lui la plus lourde souffrance, pour l’aider, parce qu'Il reconnaissait sa grande misère spirituelle, son malheur et son incapacité à se libérer de Mon adversaire avec sa propre force. L'Amour de Jésus lui fournissait la Lumière la plus claire sur l'état des hommes, sur la cause et l'unique possibilité de salut. L'Amour se sacrifiait donc Lui-Même pour leur Libération, parce qu'Il reconnaissait grâce à Son Amour la Mission que Lui-Même devait assumer. Il savait que Lui-Même S’était offert à Moi pour descendre sur la Terre pour prendre demeure dans une enveloppe humaine et former celle-ci de sorte que Moi-même, le grand Esprit de l'Infini qui était illimité, puisse Me servir de cette enveloppe et puisse rayonner totalement à travers une enveloppe humaine. Et donc Moi-même devins Homme, c'est-à-dire que Ma Force d'Amour, Ma Substance de l'Éternité, remplissait une forme humaine qui cachait une Âme pure d'en haut, une Âme du Règne de la Lumière, laquelle S’était offerte pour effectuer une Œuvre d'Expiation pour la grande faute primordiale des esprits tombés, comme l’exigeait Ma Justice pour pouvoir de nouveau accueillir dans Mon Règne les êtres tombés. L'Homme Jésus était cette Âme de Lumière, Il était la forme humaine que Je Me suis choisi comme demeure et dans laquelle Moi-même ai accompli l'Œuvre de Libération. L'Homme Jésus a dû subir d'incommensurables souffrances pendant Son chemin terrestre, parce que Son Âme percevait l'obscurité dans laquelle il devait demeurer, et parce qu'Il couronnait sa souffrance avec Sa mort sur la Croix, qui était incommensurablement atroce et qui apportait aux hommes du passé, du présent et du futur la liberté des mains du pouvoir qui était Mon ennemi et qui avait autrefois précipité le spirituel dans l'abîme. Mais Il devait être reconnu comme le Rédempteur Jésus Christ, dans lequel l'Eternelle Divinité Même a accompli l'Œuvre d'Extinction pour la grande faute des péchés. Parce que seulement cette reconnaissance apporte le salut au spirituel mort tombé à Mon adversaire. La reconnaissance de Jésus comme enveloppe de Moi-Même signifie aussi pour l'homme la libération de la dette d'un temps. Et cette reconnaissance doit être vivante, et pas seulement des mots vides que prononcent la bouche, mais une foi convaincue que Lui et Moi sommes devenus Un, que Jésus Est Dieu, que Moi-même J’ai été dans l'Homme Jésus et donc Moi-même ai sauvé les hommes du péché et de la mort. Pour arriver à la foi vivante, c'est-à-dire convaincue, vous devez vivre dans l'amour. Vous devez suivre l'Homme Jésus dont la Vie était une ininterrompue Action d'Amour. Et si seulement vous avez la volonté, Il fortifiera aussi cette volonté, pour que vous vous confessiez convaincus pour Lui et pour que vous puissiez aussi profiter des Grâces de l'Œuvre de Libération qui vous assurent la pleine Libération. Vous devez savoir la grande Signification de Sa Descente, de Sa Mission et du Mystère de Ma Venue en tant qu’Homme en Lui. Vous devez savoir qu'Il a été seulement l'enveloppe visible pour Moi-Même Qui, en tant qu’Esprit Infini, ne pouvais pas Être visible pour vous et donc J’ai choisi Moi-même une enveloppe que Je pouvais irradier totalement, pour que maintenant vous puissiez Me contempler, si vous reconnaissez Mon Œuvre de Libération et voulez accepter le Sacrifice de l'Homme Jésus, si vous-mêmes désirez l'extinction de votre faute primordiale et donc si vous vous réfugiez sous la Croix avec votre faute. Et elle vous sera vraiment enlevée, vous serez libres et pourrez de nouveau entrer dans Mon Règne de Lumière et de Béatitude, et alors vous pourrez Me contempler Moi-Même en Lui, en Jésus Christ, dans lequel Moi-même Je suis mort pour vous sur la Croix. Parce que c’était l'Amour, Qui en Jésus descendit sur la Terre, c’est l'Amour Qui Le remplissait et Qui a porté pour vous les hommes le Sacrifice le plus difficile, et cet Amour c'était Moi-même.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Die Liebe vollbrachte das Erlösungswerk....

Die Liebe des Menschen Jesus zu Seinen Mitmenschen war so groß, daß sie Ihn bewog, schwerstes Leid auf Sich zu nehmen, um ihnen dadurch zu helfen, weil Er ihre große geistige Not erkannte, ihre Unseligkeit und ihre Hilflosigkeit, sich von Meinem Gegner frei zu machen aus eigener Kraft.... Die Liebe des Menschen Jesus gab Ihm hellstes Licht über den Zustand der Menschen, über dessen Ursache und einzige Rettungsmöglichkeit.... Die Liebe opferte sich also selbst für deren Erlösung, denn Er erkannte auch kraft Seiner Liebe die Mission, die Er Selbst übernommen hatte.... Er wußte es, daß Er Sich Selbst Mir erboten hatte, zur Erde herabzusteigen, in einer menschlichen Hülle Aufenthalt zu nehmen und diese so zu gestalten, daß sie Mir Selbst zur Hülle dienen konnte.... dem großen Geist der Unendlichkeit, Der unbegrenzt war, doch eine menschliche Hülle voll und ganz durchstrahlen konnte. Und also wurde Ich Selbst Mensch, d. h., Meine Liebekraft, Meine Ursubstanz, erfüllte gänzlich eine menschliche Form, die eine reine Seele von oben barg.... eine Seele aus dem Reiche des Lichtes, die sich selbst erboten hatte, für die große Urschuld der gefallenen Geister ein Sühnewerk zu leisten, wie dies Meine Gerechtigkeit verlangte, um die gefallenen Wesen wiederaufnehmen zu können in Mein Reich. Der Mensch Jesus war diese Seele des Lichtes, Er war die menschliche Form, die Ich Mir zum Aufenthalt wählte und in der Ich Selbst das Erlösungswerk für euch vollbracht habe.... Unermeßliches Leid mußte der Mensch Jesus erdulden während Seines Erdenwandels, weil Seine Seele die Finsternis empfand, in der sie weilen mußte, und weil Er Seinen Leidensweg krönte mit Seinem Tod am Kreuz, der unermeßlich qualvoll war und den Menschen der Vergangenheit, der Gegenwart und der Zukunft die Freiheit brachte aus den Händen der Macht, die Mir feindlich gesinnt war und das Geistige einst zur Tiefe hinabgerissen hatte.... Doch Er muß anerkannt werden als Erlöser Jesus Christus, in Dem die Ewige Gottheit Selbst das Tilgungswerk für die große Sündenschuld vollbracht hat. Denn erst diese Anerkennung bringt ihm die Lösung von Meinem Gegner.... Die Anerkennung Jesu als Hülle Meiner Selbst bedeutet für den Menschen auch das Freiwerden von der einstigen Schuld. Und diese Anerkennung muß lebendig sein, nicht nur tote Worte, die der Mund ausspricht, sondern überzeugter Glaube daran, daß Er und Ich eins wurden.... daß Jesus Gott ist, daß Ich Selbst in dem Menschen Jesus gewesen bin und also Ich Selbst die Menschen erlöste von Sünde und Tod. Um zu diesem lebendigen, d.h. überzeugten Glauben zu gelangen, müsset ihr in der Liebe leben.... Ihr müsset dem Menschen Jesus nachfolgen, Dessen Leben ein unausgesetztes Liebewirken war.... Und wenn ihr nur des Willens seid, wird Er auch diesen Willen stärken, auf daß ihr euch überzeugt zu Ihm bekennet und dadurch auch die Gnaden des Erlösungswerkes in Anspruch nehmen dürfet, die euch volle Erlösung sichern. Ihr sollet wissen um die große Bedeutung Seiner Niederkunft, um Seine Mission und um das Geheimnis Meiner Menschwerdung in Ihm.... Ihr sollt wissen, daß Er nur die schaubare Hülle gewesen ist für Mich Selbst, Der Ich als unendlicher Geist euch nicht schaubar sein konnte und Mir daher Selbst eine Hülle erwählte, die Ich voll und ganz durchstrahlen konnte, auf daß ihr Mich nun schauen könnet, wenn ihr dieses Mein Erlösungswerk anerkennet und das Opfer des Menschen Jesus annehmen wollet.... wenn ihr selbst die Tilgung eurer Urschuld begehret und darum unter das Kreuz flüchtet mit eurer Schuld. Und sie wird euch wahrlich abgenommen werden, ihr werdet frei sein und wiedereingehen können in Mein Reich des Lichtes und der Seligkeit, und ihr werdet Mich Selbst dann schauen können in Ihm.... in Jesus Christus, in Dem Ich Selbst für euch am Kreuz gestorben bin.... Denn es war die Liebe, Die in Jesus zur Erde herniederstieg, es war die Liebe, Die Ihn erfüllte und Die für euch Menschen das schwerste Opfer vollbrachte, und diese Liebe war Ich Selbst....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde