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Pas la prédisposition, mais l'amour détermine la volonté

À tous il vous est laissé la liberté d'orienter votre volonté là où vous le voulez, néanmoins au moyen de Ma Parole il vous est indiqué quel succès procure une certaine orientation de la volonté. Mais Ma Parole ne vous force pas, parce que vous pouvez l'accepter ou la refuser – selon votre manière de penser et selon votre amour. Parce que l'amour détermine votre volonté. Vous aimerez toujours ce vers quoi vous tendez, que cela soit bon ou mauvais ; ce sur quoi votre désir est orienté. Et telle est aussi votre volonté – bonne ou mauvaise. Vous sentirez toujours un amour pour ce que vous désirez, mais si l'amour est orienté bien ou mal cela détermine votre développement spirituel. Maintenant vous pouvez certes objecter que l'amour est inséré dans l'homme, que même l'amour pour le mal naît dans le cœur et que l'homme est donc une victime des désirs qui somnolent en lui. Et cette objection est justifiée jusqu'à un certain point, parce que dans l'homme reposent toutes les stimulations et désirs qui, dans les stades préalables dans la loi de l'obligation, n'ont pas été dépassés. L'homme porte donc avec lui dans la vie terrestre ces stimulations, pour les dépasser et les déposer maintenant totalement. Donc ces caractéristiques existent dans l'homme et donc elles stimulent toujours le désir. Ils veulent se réaliser et deviennent tellement forts dans l'homme qu’ils le dominent complètement. La lutte contre de tels désirs est souvent très dure, mais pour cela l'homme a reçu l'entendement pour qu'il puisse réfléchir sur ses perceptions pour pouvoir les affronter. Donc il est faux de dire que l'homme doive agir comme est sa prédisposition, car alors il serait comme s'il avait été créé sans entendement et se sente poussé selon l'instinct.

Mais vu que dans la vie terrestre il lui est donné assez d’occasions pour rassembler pour lui des connaissances, vu qu’il lui est donné une ligne de conduite au moyen de Mes Commandements de l'Amour, vu qu’il a en lui un avertisseur silencieux et un réprobateur qui lui indique toujours Ma Volonté, et vu que maintenant il peut réfléchir sur tout, il dépend seulement de sa volonté de mener la lutte avec lui-même, si elle est nécessaire, si ses désirs vont contre ce qu'il devrait faire selon la connaissance intérieure. Il est exclu qu'il ne puisse pas le faire, parce qu'une sérieuse volonté lui assure aussi un afflux de force – mais une volonté faible échoue. – Et de nouveau il est nécessaire seulement d’une chose pour renforcer la volonté faible : la foi en Jésus Christ. Les hommes qui sont encore très alourdis avec des caractéristiques provenant de leurs stades précédents, n'auront pas la foi en Jésus Christ, mais s’ils s'en occupent intellectuellement, ils annoncent déjà leur volonté de sonder la Vérité et ils seront aidés à trouver une juste solution. Mais là où la question de Jésus Christ est rejetée sans réfléchir – là où on ne cherche aucune réponse, vraiment là la volonté est évidemment tournée vers le bas et là l'homme sera bien une victime des forces d’en bas, mais lui-même le veut, et ce n’est pas la faute de ses prédispositions. Parce que l'homme peut vouloir dans les deux directions, autrement on ne pourrait pas parler d'une libre volonté. Et pour cela l'homme peut et doit se poser la question sur sa tâche dans sa vie terrestre – et pour cela il lui a été donné l'entendement.

Amen

Traducteurs
Traduit par: Jean-Marc Grillet

Nicht die Veranlagung, sondern Liebe bestimmt Willen....

Euch allen ist es freigestellt, wohin ihr euren Willen richtet, wenngleich ihr durch Mein Wort wohl darauf hingewiesen werdet, welchen Erfolg eine jede Willensrichtung für euch zeitigt. Doch auch Mein Wort zwingt euch nicht, weil ihr es auch wieder annehmen oder ablehnen könnet je nach eurer Sinnesart und eurer Liebe. Denn die Liebe bestimmt euren Willen.... Stets werdet ihr das, was ihr anstrebt, lieben, ob es gut ist oder böse; euer Verlangen ist darauf gerichtet, und so ist auch euer Wille.... gut oder böse. Eine Liebe werdet ihr immer empfinden zu dem, was ihr begehret, ob aber die Liebe eine recht oder falsch gerichtete ist, das bestimmt eure geistige Entwicklung. Nun könnet ihr wohl darauf einwenden, daß die Liebe in den Menschen hineingelegt ist, daß auch die Liebe zum Bösen im Herzen geboren wird und daß der Mensch also ein Opfer der in ihm schlummernden Begierden ist. Und dieser Einwand ist bis zu einem gewissen Grade berechtigt.... daß im Menschen alle die Triebe und Begierden ruhen, die in den einzelnen Vorstadien im Mußgesetz noch nicht überwunden worden sind, daß diese Triebe also der Mensch mit in das Erdenleben bringt, um sie nun zu besiegen und sie völlig abzulegen. Diese Eigenschaften sind also im Menschen vorhanden und reizen daher auch immer die Begierden an. Sie wollen Erfüllung und werden oft so mächtig im Menschen, daß sie ihn völlig beherrschen. Der Kampf gegen solche Begierden ist oft schwer, doch dazu hat der Mensch von Mir den Verstand bekommen, daß er über seine Empfindungen nachdenken kann, um entsprechend dagegen vorzugehen. Es ist falsch, zu sagen, der Mensch müsse so handeln, wie es seiner Veranlagung entspricht.... wohl, wenn er ohne Verstand geschaffen wäre und er sich instinktmäßig getrieben fühlte.

Da ihm aber im Erdenleben genug Gelegenheit geboten ist, sich Erkenntnisse zu sammeln, da ihm eine Richtschnur gegeben ist durch Meine Gebote der Liebe, da er in sich einen stillen Mahner und Warner hat, der ihn stets hinweiset auf Meinen Willen, und da er nun über alles nachdenken kann, so liegt es nun allein an seinem Willen, einen Kampf mit sich selbst zu führen, wenn er nötig ist, wenn seine Begierden dem widerstehen, was er laut innerer Erkenntnis tun sollte.... Daß er es nicht könnte, scheidet aus, denn ein ernster Wille sichert ihm auch Kraftzuwendung, ein schwacher Wille jedoch versagt.... Und wieder ist nur eines nötig, um einen schwachen Willen zu verstärken.... der Glaube an Jesus Christus.... Wohl werden gerade die Menschen, die noch stark belastet sind mit Eigenarten aus ihren Vorstadien, den Glauben an Jesus Christus nicht haben, doch so sie sich nur damit verstandesmäßig auseinandersetzen, geben sie schon den Willen kund, die Wahrheit zu ergründen, und es wird ihnen geholfen, eine rechte Lösung zu finden.... Wo aber die Frage um Jesus Christus unbedenklich verworfen wird, wo man sich nicht um Antwort bemüht, dort eben ist der Wille offensichtlich nach unten gerichtet, und dort wird der Mensch wohl ein Opfer der Kräfte von unten, doch er selbst will es, und nicht seine Veranlagung ist schuld daran. Denn der Mensch kann wollen in beiden Richtungen, ansonsten nicht von einem freien Willen gesprochen werden könnte. Und jeder Mensch kann und soll sich einmal die Frage stellen über seine Erdenlebensaufgabe.... Dazu ist ihm der Verstand gegeben worden....

Amen

Traducteurs
This is an original publication by Bertha Dudde