La actividad de pensamiento de un alma que se forma para el amor está subordinada a la protección divina, y si el ser humano quiere ser bueno siempre recogerá voluntariamente los pensamientos correctos si brotan del corazón y desean ser retenidos en el cerebro del ser humano. La voluntad del ser humano que se afana por el amor afirma los buenos pensamientos y rechaza los malos pensamientos, y Dios fortalece esta voluntad porque reconoce el afán del ser humano y se apodera de todo lo que quiere dirigirse hacia Él, es decir, se encuentra con el ser humano, que lo tiene a Él como objetivo. La persona buena no puede pensar mal en cuanto si bien de pensamiento nace en su propio corazón, es decir, todo lo que no está claro para él y suscita preguntas en él, despertará pensamientos veraces en él y, por lo tanto, puede llamarse un bien de pensamiento adquirido por sí mismo.
Pero si precedieron enseñanzas humanas que se desvían de la verdad, entonces el alma no se entrega sin reservas a la Verdad eterna, que es Dios Mismo... no desea aclaración, sino ella se cree iluminada... Los pensamientos no nacieron en el corazón, sino que fueron plantados en ello... la voluntad del hombre no puede liberarse de eso, y el amor del hombre no se dirige exclusivamente hacia la Divinidad eterna, sino que también pertenece a lo que dejó surgir la sabiduría humana... Así que el hombre aún no está libre del amor terrenal. Pero el hombre debe estar dispuesto a renunciar a todo lo que posee si quiere recibir la Verdad eterna. Pero ésta lo recompensa por todo lo que renuncia.
La actividad de pensamiento depende de él, por lo que no es dirigido obligatoriamente a una dirección determinada mientras el ser humano quiera estar activo él mismo. Sólo cuando entregue también su pensamiento a la guía de Dios, cuando pida Su protección y bendición y recomiende todo bien de pensamiento que llegue a él a Su cuidado y gracia, su pensamiento será guiado por Dios y se moverá inevitablemente en la verdad. Y el hombre no tiene por qué temer tener que renunciar a algo que agrada a Dios, porque en cuanto ya está en la verdad ésta vuelve a él como bien de pensamiento.
El corazón simplemente se niega a dejar a subir al cerebro lo que no corresponde a la verdad divina... es decir, por pura voluntad (¿percepción?) el ser humano entonces rechaza tales pensamientos porque ya no puede afirmarlos plena y sinceramente. Y Dios separa la verdad del error y da al hombre, que se entrega a Él en plena confianza, la cognición de lo que es verdad y lo que es error. Cualquiera que quiera sacar sabiduría de los libros del mundo nunca alcanzará la sabiduría; porque quien, en el amor sincero a Dios, se acerca a Él por la verdad, su sabiduría supera todo lo que se ha ganado intelectualmente. Y así se pone una señal cuando la persona se mueve en la verdad... Pero siempre se ofrece la misma verdad a aquellos que piden a Dios, como Verdad eterna, el conocimiento correcto...
amén
TraductorL'activité mentale d'une âme qui se forme dans l'amour est subordonnée à la Protection divine et si l'homme veut être bon, il accueillera toujours volontairement les justes pensées si elles montent du cœur et si elles sont désirées elles resteront arrêtées dans le cerveau de l'homme. La volonté de l'homme qui tend à l'amour affirme les bonnes pensées et refuse les mauvaises et cette volonté est fortifiée par Dieu, parce qu'Il reconnaît la tendance de l'homme et Il saisit tout ce qui veut se tourner vers Lui, donc Il vient à la rencontre de l'homme qui L'a pour But. L'homme bon ne peut pas penser d’une manière fausse si son patrimoine mental est né du cœur, c'est-à-dire que tout ce qui ne lui est pas clair et le pousse à des questions réveillera en lui des pensées selon la Vérité et donc on peut appeler patrimoine mental ce qu’il a conquis tout seul. Mais si celui-ci a été précédé d’enseignements humains qui dévient de la Vérité, l'âme ne se donnera pas sans réserve à l'éternelle Vérité qui est Dieu Même, elle ne désire aucun éclaircissement, mais elle se croit savante. Les pensées ne sont pas nées du cœur, mais elles y ont été plantées, la volonté de l'homme ne peut pas s’en libérer et l'amour de l'homme ne se tourne pas exclusivement vers l'éternelle Divinité, mais il appartient aussi à ce qu’a fait se lever la sagesse humaine. Donc l'homme n'est pas encore libre de l'amour terrestre. Or celui-ci doit être disposé à renoncer à tout ce qu’il possède, s'il veut recevoir l'éternelle Vérité. Celle-ci le dédommagera pour tout ce à quoi il a renoncé. Il est libre dans son activité mentale, donc il n’est pas conduit par contrainte dans une orientation déterminée, tant que l'homme lui-même veut être actif. Seulement lorsqu’il assujettit ses pensées à la Conduite de Dieu, lorsqu’il demande Sa Protection et Sa Bénédiction et recommande chaque patrimoine mental qui lui arrive à Sa Garde et à Sa Grâce, ses pensées seront guidées par Dieu et évolueront inévitablement dans la Vérité. Et l'homme ne doit pas craindre de devoir renoncer à quelque chose qui est agréable à Dieu, parce que dès qu’il se trouve dans la Vérité, celle-ci lui arrive de nouveau comme patrimoine mental. Mais le cœur refuse de laisser monter au cerveau ce qui ne correspond pas à la Vérité divine, c'est-à-dire, que l'homme refuse volontairement (perceptiblement ?) à de telles pensées, parce qu'il ne peut plus les affirmer entièrement. Et Dieu sépare la Vérité de l'erreur et donne à l'homme qui se confie complètement à Lui, la connaissance de ce qui est Vérité et de ce qui est erreur. Celui qui veut puiser la sagesse dans les livres du monde, n'arrivera éternellement pas à la Sagesse ; mais celui qui dans un intime amour demande la Vérité à Dieu, sa sagesse dépassera tout ce qui avait été conquis intellectuellement. Et avec cela il est posé une marque, lorsque l'homme est dans la Vérité. Mais la même Vérité est offerte à ceux qui demandent la juste connaissance à Dieu en tant que Vérité éternelle.
Amen
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