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Visión de la vida que depende la creencia en la vida continua del alma....

Las percepciones de la vida de cada hombre individual son muy diferentes, ya que siempre son el producto de la dirección mental del individuo. Pero es innegable que el hombre adoptará una actitud afirmativa hacia la vida, es decir, la reconocerá como algo significativo si se ve a sí mismo como una criatura que tiene una tarea en la tierra. Sin embargo, el hombre a quien no le parece aceptable que toda la creación sea un medio para un fin y que él, como ser humano, sea, por así decirlo, la causa de cada obra de creación, encontrará que toda la vida carece de sentido para él, y le agrada el pensamiento de poder terminar su vida por propia voluntad, porque se ofende por todos esos acontecimientos y sufrimientos que se imponen a los hombres desde arriba.

No tiene pruebas reales para suponer que la vida de su alma termina con la muerte física, y sin embargo lo asume con tanta confianza que organiza su vida en la tierra en consecuencia, es decir, vive sin ningún sentido de responsabilidad porque cree que es imposible que alguna vez tenga que responder por sí mismo. No tiene pruebas reales y, sin embargo, hace de esta suposición un requisito previo para su vida en la tierra. Su perspectiva de la vida se basa en la suposición de la inexistencia después de la muerte. No tiene ningún impulso, ninguna fe que le enseñe a pensar de manera diferente. Sólo unas evidencias irrefutables de la vida después de la muerte cambiarían su perspectiva actual de la vida, pero estas no se le pueden dar porque una creencia despertada de esta manera no tendría valor ante Dios....

Entonces no puede obtener un conocimiento positivo acerca de la vida continua del alma. , sólo tiene que “creer” las enseñanzas al respecto, tiene que llegar a esa creencia por sí mismo, para lo tiene muchos recursos a su disposición. Sólo cuando ha adquirido esta convicción su visión de la vida comienza a flaquear. Ahora hará comparaciones, ya no querrá reconocer lo que antes había defendido, acogerá con agrado una transformación de las condiciones de la vida exterior que le ayudará a abandonar por completo sus falsas opiniones y ahora mirará la vida en la Tierra de forma completamente diferente. Y así, el hombre dispuesto supera esto por él mismo, si tan sólo presta su atención a este problema, que le incita a resolverlo y, por tanto, le estimula a la investigación espiritual.

Una vez que el hombre ha superado este precipicio, el peligra ha pasado para él, porque ahora sus pensamientos se dirigen siempre hacia la verdad eterna, y ahora también aceptará la vida terrenal con entrega y paciencia, porque sabe que su vida en la tierra sólo le es concedida por un corto tiempo y que debe aprovechar este tiempo y romper la conexión que le enseño a pensar mal. Ahora le resulta claro cuán erróneos son los resultados de un pensamiento tan distorsionado. La fe en Dios es la base sobre la que debe apoyarse todo edificio, pero sin la fe no se puede transmitir la verdad al hombre y entonces tampoco puede alcanzar esa visión de la vida, que afirma todo, es decir, que es el camino hacia la cognición correcta....

amén

Traductor
Traducido por: Hans-Dieter Heise

Le point de vue sur la vie dépend de la foi dans la continuité de la vie de l'âme

Les points de vue des hommes sur la vie sont très différents, parce qu’ils résultent toujours de l'orientation spirituelle de l'individu. Mais l'homme se déclarera indubitablement affirmatif envers la vie, c'est-à-dire qu’il reconnaîtra de quelque façon sensée, que lui-même en tant que créature a une tâche sur la Terre. Mais l'homme auquel il ne semble pas acceptable que toute la Création soit un moyen pour un but et que lui en tant qu’homme soit d’une certaine manière le motif de toute l’Œuvre de Création, à celui-ci toute la vie semblera insensée, et la pensée de pouvoir finir arbitrairement sa vie terrestre ne lui sera pas plaisante, parce qu'il se heurtera contre tous les événements et les souffrances qui sont imposés à l'homme depuis le haut. Il n'a pas de vraies preuves pour croire que la vie de son âme se finisse avec la mort corporelle, mais il accepte cela si sûrement qu'il organise sa vie sur la Terre en conséquence, c'est-à-dire qu’il vit sans quelque sentiment de responsabilité, parce qu'il considère impossible de devoir jamais être rendu responsable. Il n'a pas de vraies preuves et assigne de toute façon cette supposition à son chemin terrestre. L'opinion de sa vie est fondée sur la supposition de n’être plus rien après la mort. Il n'a aucune poussée, aucune foi qui lui enseigne une autre façon de penser. Seuls des preuves irréfutables d'une continuité de la vie après la mort pourraient changer le point de vue qu’il a eu jusqu'à présent, or une telle foi contrainte n'aurait aucune valeur devant Dieu. Donc il ne peut pas obtenir un savoir positif sur la continuité de la vie de l'âme, il doit justement seulement « croire » les enseignements sur cela, lui-même doit lutter pour arriver à cette foi, et pour cela il a des moyens d'aide suffisants à sa disposition. Seulement lorsqu’il aura conquis cette conviction, son point de vue sur la vie commencera à vaciller. Maintenant il fera des comparaisons, lui-même ne voudra plus reconnaître ce pour lequel il s'était battu auparavant, il saluera un changement des conditions extérieures de la vie qui l'aident à renoncer totalement à ses fausses opinions et maintenant il considérera la vie terrestre d’une manière totalement différente. Et donc l'homme lui-même luttera, si seulement il porte son attention sur ce problème qui le pousse à le résoudre et donc à la recherche spirituelle. Lorsque l'homme a dépassé cet écueil, le danger pour lui est fini, parce que maintenant ses pensées seront toujours tournées à la rencontre à la Vérité, et maintenant il prendra aussi sur lui avec résignation et patience la vie terrestre, parce qu'il sait que la vie terrestre lui est accordée seulement pour un temps bref et qu'il doit l'utiliser pour dénouer le lien avec ce qui lui a été enseigné comme fausses pensées. Maintenant il lui devient clair combien erronés sont les résultats de pensées aussi déformées. La foi en Dieu est le mur de base, sur lequel doit reposer tout l’édifice, mais sans la foi il ne peut être transmis la Vérité à l’homme et donc il ne pourra pas arriver à ce point de vue sur la vie qui explique tout, y compris à la juste connaissance.

Amen

Traductor
Traducido por: Jean-Marc Grillet