Source: https://www.bertha-dudde.org/fr/proclamation/3484

3484 Amélioration apparente des conditions de vie

19 mai 1945: livre 45

Ne vous laissez pas bercer à travers l'apparente amélioration des conditions de vie, mais vous devez savoir que le temps de misère n'est pas encore fini, qu'il continue seulement sous d’autres formes, qu'il doit être dépassé par vous les hommes et que vous avez encore besoin de beaucoup de souffrance et de beaucoup d'épreuves pour arriver à changer. La volonté des hommes tend toujours seulement à promouvoir le bien vivre du corps et ils emploient toutes leurs forces pour mettre en action leur volonté. Mais plus vous vous liez à des tendances terrestres, moins vous pensez à votre âme et vu que celle-ci marche seulement pour peu de temps sur la Terre, elle ne peut pas être laissée dans sa paresse, mais à travers la misère et la souffrance elle doit toujours de nouveau être stimulée à réfléchir sur sa tâche sur la Terre et donc la misère ne peut pas encore finir et des jours difficiles devront encore venir. Parce que Dieu accomplit Son Plan, Il ne cesse jamais de pourvoir les âmes qui sont en danger de s'égarer totalement. Mais les hommes ne reconnaissent pas Sa Préoccupation, ils ne voient pas Son Amour dans la souffrance qui les frappe, parce qu'ils sont aveugles en esprit et ont des yeux seulement pour le monde terrestre, pour tout ce qui est agréable pour le corps, mais qui est insupportable pour l'âme. Et s'ils ne s'exercent pas d'abord dans l'amour, ils ne reconnaîtront pas l'Amour de Dieu, parce qu'à eux la Lumière brillera seulement lorsque eux-mêmes seront capables et de bonne volonté pour aimer. Et même pour cela la souffrance est utile, pour que les hommes allument en eux l’étincelle de l'amour et qu’ils la fassent devenir une flamme claire, et qui dans la souffrance ils pensent à la misère du prochain et cherchent à l'éliminer et avec cela forment leurs cœurs dans l'amour. Et donc ne vous laissez pas voiler votre vue avec ce qui se passe dans le monde, pensez à l'âme et prenez sur vous avec résignation tout ce qui vous est encore destiné.

Amen

Traduit par Jean-Marc Grillet